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 16 Juin 2024

UN ENSEIGNEMENT TOP NIVEAU

C’est une évidence, il n’est aucun enseignement qui puisse nous être plus bénéfique que celui de la Parole de Dieu. Qui peut dire le nombre des douleurs qui sont épargnées à ceux, et celles, qui reçoivent humblement son conseil ? Indéniablement, nos âmes seront en prospérité si nous y prenons garde. Nul ne peut raisonnablement douter des bonnes intentions du Père céleste.

« Pourquoi ? » demandera peut-être un de nos lecteurs. Comment pouvons-nous être sûrs que Dieu désire notre bonheur, et non notre malheur ? Les Écritures nous l’assurent, l’Éternel ne prend pas plaisir à la mort du méchant. Non seulement Il ne s’en réjouit pas, mais plus encore, Il montre au pécheur la voie qu’il doit suivre. Quel est ce chemin ? Il porte un Nom merveilleux, Jésus-Christ. Lui-même est la preuve éclatante de l’Amour de Dieu pour le monde. Voici, Il a donné Son propre Fils afin que nous vivions par Lui.

Certes, il est bon que nous réalisions que Dieu nous aime. Si nous le savons, ce ne sera pas à regret que nous nous soumettrons à Ses commandements. Ce ne sera pas non plus par crainte de Son jugement. Celui qui croit dans le Nom du Seigneur en est libéré, une telle personne est passée de la mort à la vie. Quelle sera donc la motivation qui nous poussera à l’obéissance ? Le désir de plaire à Celui qui nous a fait grâce et l’assurance que ce que le Seigneur prescrit ne l’est que pour notre bien.

Voici, nous n’obéirons plus par contrainte, mais de bon cœur. C’est alors que nous constaterons avec bonheur que, véritablement, Ses commandements ne sont pas pénibles. Maintenant que nous savons toutes ces choses, que ferons-nous ? Écoutons simplement le Père s’adressant à nous avec tendresse. Il nous invite à revenir à Lui et à placer notre foi dans le Nom de Son précieux Fils. Soyons-en pleinement persuadés, là seront notre salut, notre joie et notre contentement.

Proverbes 3.1-2

Mon fils, n’oublie point mon enseignement, et que ton cœur garde mes commandements. Car ils t’apporteront de longs jours, et des années de vie, et la prospérité.

 

17 Juin 2024

EN SÉCURITÉ

En dehors de Christ, il ne se trouve aucune liberté. Si quelqu’un prétend le contraire, si quelqu’un prétend nous l’offrir, surtout ne l’écoutons pas! C’est un menteur! Réfléchissons, un aveugle conduirait-il un autre aveugle? Evidemment, tous deux finiront dans la fosse. Jésus-Christ seul est la lumière du monde. Il n’est point de salut ni d’espérance véritable pour ceux qui rejettent Son témoignage. Quoique l’homme regimbe et préfère croire au mensonge, la vérité de Dieu n’en est pourtant pas amoindrie. Nul ne viendra jamais au Père sinon QUE par le Fils.

C’est pourquoi, puisque nous sommes avertis, ne soyons pas insensés, ne prêtons pas l’oreille aux discours mondains. Gardons-nous de la prétendue science et de la philosophie de ce monde. Autrement, nous risquerions d’être séduits et emportés! Plutôt, attachons-nous au bon Berger et laissons-Le nous conduire. Quiconque est de la vérité écoute Sa voix. C’est indiscutable, nous avons besoin d’être enracinés et fondés en Jésus-Christ. Si notre connaissance du Fils de Dieu est superficielle et légère, impossible de soutenir le combat dans la durée!

Voici, il est absolument nécessaire qu’Il habite dans nos cœurs par la foi. Si nous n’avons pas la pensée de Christ, comment résisterons-nous? Comment tiendrons-nous ferme face à l’adversité et aux ruses de l’ennemi? Réalisons-le, en dehors de Christ, nous sommes désemparés et exposés à tous les dangers. Par contre, si nous demeurons en Lui, si nous nous reposons dans le creux de Sa main, nous sommes réellement en sécurité. Nul ne nous en ravira. Telle est notre assurance et notre confiance dans le Seigneur!

Colossiens 2.6-8

Ainsi, comme vous avez reçu le Seigneur Jésus-Christ, marchez avec lui, Enracinés et fondés en lui, et affermis dans la foi, selon que vous avez été enseignés, abondant en elle, avec actions de grâces. Prenez garde que personne ne vous séduise par la philosophie et par de vaines tromhttp://xn--cherchezjsus-christ-jzb.com/actualites/actualite-2023/juin-16-30/peries, selon la tradition des hommes, selon les rudiments du monde, et non selon Christ.

 

18 Juin 2024

L’OBÉISSANCE DE LA FOI

Si nous connaissons que nous sommes des êtres pécheurs, où sera notre paix? Sera-ce dans les choses de la terre? Certes non, tout n’y est que vanité et rongement d’esprit. Il est absolument certain que rien dans le monde ne peut tranquilliser une conscience éveillée. Ni la science ni les vains artifices qui s’y trouvent ne peuvent éteindre ces terribles angoisses. On peut bien multiplier les activités et maintenir l’esprit occupé par toutes sortes d’occupations, le cœur n’en demeure pas moins toujours troublé.

Et pour cause, qui peut accorder le pardon sinon Dieu? Tant que nous ne l’obtenons pas, la crainte du châtiment est latente et remplit continuellement l’âme d’amertume. En réalité, l’homme ne peut vivre en paix que dans la mesure où il croit en l’Amour que Dieu lui porte. N’en doutons pas, il n’existe aucun autre repos que celui-ci. Inutile de chercher ailleurs, inutile de parcourir monts et vallées, ce serait peine perdue. Voici, le juste vivra par la foi. Si nous refusons de nous soumettre à l’obéissance de la foi, nos cœurs seront agités et alarmés toute notre vie.

Dieu a tant aimé le monde qu’Il a donné Son Fils unique afin que quiconque croit en Lui ne périsse point mais qu’il ait la vie éternelle. Telle est la promesse qui nous est faite. Dieu nous indique que le Nom de Son Fils sera notre refuge. Il n’y a maintenant plus aucune condamnation pour ceux qui sont en Jésus-Christ. En Lui, nous sommes pleinement pardonnés, réconciliés, acceptés et justifiés. Si nous en sommes convaincus, si nous avons l’assurance que Dieu nous aime, quelle punition reste-t-il à craindre? En revanche, si nous gisons dans l’incrédulité, nous sommes privés de tout secours et n’avons pour partage qu’effroi et tourments.

C’est pourquoi, dès à présent, sans plus tarder, demandons grâce à Dieu. Supplions-Le de nous révéler Son Amour en Christ. Là sera notre délivrance. Là sera notre salut!

1 Jean 4.18-19

La crainte n’est pas dans l’amour, mais l’amour parfait bannit la crainte ; car la crainte suppose un châtiment, et celui qui craint n’est pas parfait dans l’amour. Pour nous, nous l’aimons, parce qu’il nous a aimés le premier.

 

19 Juin 2024

N’ABANDONNE PAS, TIENS BON !

Lorsque l’adversité augmente, lorsque la fatigue et la lassitude se font ressentir, il est sans doute temps, l’espace d’un moment, de mettre entre parenthèses toutes nos activités pour nous recentrer sur l’essentiel. Autrement, l’épuisement et le découragement ne tarderaient pas à nous gagner. Souvenons-nous de la raison de notre combat. Souvenons-nous de Jésus-Christ.

Tout dans ce monde est contraire à la piété. Néanmoins, coûte que coûte, revêtus des armes de Dieu, nous luttons pour garder la foi et maintenir le témoignage de Christ. Sans contredit, l’enjeu est considérable! Le Fils de Dieu est le seul qui révèle le Père, le seul qui nous donne accès à Lui. Réalisons-le, privés de la connaissance de Jésus-Christ, il ne reste plus ni pardon, ni réconciliation, ni espérance, ni salut. Si l’adversaire parvient à obscurcir la lumière du Christ, tout espoir est perdu pour l’humanité. C’est pourquoi, ne nous relâchons pas, ne baissons pas les bras! Ne renonçons pas au Nom du Seigneur, jamais!

Evidemment, les conséquences d’un abandon seraient désastreuses. Quel message délivrons-nous si nous abandonnons? Un aveu de défaite ne reviendrait-il pas à affirmer que notre Dieu est dans l’incapacité de sauver? Ainsi, nous décourageons ceux qui veulent s’approcher du Seigneur et saisir la parole de Sa grâce. Plus grave encore, nous ternissons l’honneur de Celui qui nous a enrôlés.

Que ferons-nous alors si nous souffrons? Recommandons seulement nos âmes à Dieu. Oui, Il est fidèle. Notre assurance est qu’Il nous fait toujours triompher en Christ. Véritablement, en dépit de toutes apparences, nous sommes plus que vainqueurs, par Celui qui nous a aimés. Nous ne sommes pas seuls. Le Seigneur l’a promis, Il est toujours avec les Siens. Aussi, au milieu de la fournaise de l’épreuve, du rejet et de la persécution, conservons-nous dans l’amour de Dieu, en attendant la miséricorde de notre Seigneur Jésus-Christ pour la vie éternelle. Oui, souvenons-nous de Jésus-Christ!

2 Timothée 2.8-9

Souviens-toi de Jésus-Christ, ressuscité des morts, issu de la race de David, selon mon Évangile, Pour qui je souffre jusqu’à être lié comme un malfaiteur, mais la parole de Dieu n’est point liée.

 

20 Juin 2024

L’AMOUR SE RÉJOUIT DE LA VÉRITÉ

Certes, lorsque nous la voyons, lorsque nous reconnaissons le témoignage de Christ, nous ne pouvons qu’être remplis d’allégresse. Au contraire, si un frère ou une sœur s’embourbe et se laisse séduire par le mensonge, nos cœurs se déchirent. Voici, nous faisons tous, et toutes, partie du même Corps dont le Seigneur Jésus est le Chef. De ce fait, est-il possible que nous restions indifférents lorsque nous voyons une brebis du Seigneur s’égarer loin du Berger? Pouvons-nous rester impassibles lorsqu’un bien-aimé est à bout de forces, près du désespoir et de l’abandon? Non, évidemment. Voici, si un membre souffre, tous les membres souffrent avec lui. Si un membre est honoré, tous les membres se réjouissent avec lui. Remarquons-le, notre bonheur dépend de celui du Corps.

Toutefois, dans la pratique, ne devons-nous pas admettre que la tendance naturelle favorise plutôt l’égoïsme et l’individualisme? Avons-nous vraiment un ardent amour les uns pour les autres? Sommes-nous capables d’un amour fraternel qui soit sans hypocrisie? Pouvons-nous nous réjouir de la grâce de Dieu dans la vie d’un frère, ou d’une sœur, sans lui porter envie? Ce sont pourtant autant de choses que les Écritures nous prescrivent.

« Mission impossible! » s’exclamera peut-être l’un d’entre nous. Vrai! Pour le vieil homme, l’objectif est tout à fait hors de portée. Mais, l’avons-nous oublié, n’avons-nous pas appris qu’en dehors de Christ nous ne pouvons rien faire? C’est Lui qui est notre unique espoir! Souvenons-nous de cette parole de Jean-Baptiste à propos de Jésus-Christ: « Il faut qu’Il croisse, et que je diminue. » Indiscutablement, elle doit aussi s’appliquer à nous. Voici quelle sera alors notre confession: « Je suis crucifié avec Christ, et si je vis, ce n’est plus moi, mais c’est Christ qui vit en moi. » Dès alors, croyons-le fermement, si le Christ habite dans nos cœurs par la foi, si nous avons Sa pensée et que nous demeurons dans Son Amour, nous saurons aimer et nous réjouir librement avec ceux qui marchent dans la vérité!

3 Jean 2-3

Bien-aimé, je souhaite qu’à tous égards tu prospères et sois en bonne santé, comme ton âme est en prospérité. Car j’ai eu bien de la joie du témoignage que des frères, arrivés ici, ont rendu à ta fidélité, et à la manière dont tu marches dans la vérité.

 

21 Juin 2024

SA SCIENCE NOUS DÉPASSE

Toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu, de ceux qui sont appelés, selon Son dessein. Cette déclaration ne suffit-elle pas à notre bonheur? Si nous savons ceci, nous pouvons vivre le cœur serein. En réalité, nous pouvons bien tout ignorer si seulement nous connaissons et croyons l’Amour de Dieu. Inutile alors d’entreprendre de grandes recherches pour comprendre le pourquoi et le comment des choses. Oui, épargnons cette peine à nos âmes. À n’en pas douter, ces innombrables affaires auxquelles l’on s’emploie ne sont que des vanités et ne procurent que rongement d’esprit.

Voici, notre Dieu fait de grandes choses qu’on ne peut sonder, de merveilleuses choses qu’on ne peut compter. Quel est l’homme, quelle est la femme, qui puisse saisir, depuis le commencement jusqu’à la fin, l’Oeuvre que Dieu fait? Il nous faut l’admettre, Sa science est bien trop élevée pour que nous puissions y atteindre. C’est pourquoi, cessons notre entêtement. Sachons-le, nous n’en pourrons tirer aucun profit. Maintenant, qu’il nous suffise seulement de nous reposer sur la fidélité de Dieu. Apprenons-le, c’est dans le calme et la confiance que sera notre force. Bien que les circonstances laissent peut-être parfois supposer le contraire, tenons toutefois pour certain que la Parole de Dieu s’accomplit infailliblement. Certes, c’est un Roc insubmersible!

Or, quelle est la promesse qui est faite à l’humanité? Quiconque croit en Jésus-Christ, reçoit la rémission des péchés par Son Nom. Telle est notre espérance. Désormais, elle peut aussi devenir la vôtre. Si votre barque est chahutée au milieu de la tempête, cet Appel est pour vous dès à présent: « Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous soulagerai. »

Job 9.10-12

Il fait de grandes choses qu’on ne peut sonder, de merveilleuses choses qu’on ne peut compter. Voici, il passe près de moi, et je ne le vois pas; il passe encore, et je ne l’aperçois pas. S’il ravit, qui le lui fera rendre? Qui lui dira: Que fais-tu?

 

22 Juin 2024

QUE DE QUESTIONS

Bien que l’homme ne puisse comprendre l’Oeuvre de Dieu dans sa globalité, il a pourtant dans son cœur la pensée de l’éternité. Qu’adviendra-t-il après les quelques jours de cette vie? Où irai-je? Tant que ces questions ne trouvent pas de réponses satisfaisantes, il ne peut y avoir aucun repos. La peur de la mort est comme collée à nous. Quoi que nous fassions, quelles que soient nos occupations, elle est là et ne donne aucun relâche.

Mais alors, que faire et où aller? Où sera notre délivrance? Qui soulagera notre fardeau? Écoutons ce que dit la Parole de Dieu. Certes, Il n’est pas insensible aux angoisses de nos âmes. Que nous apprennent les Écritures? Dieu a mis toutes choses sous les pieds de Son Christ. Voici, l’ennemi qui sera détruit le dernier, c’est la mort. Par conséquent, pour qui espère en Son Nom, il n’est désormais plus aucune raison de la craindre! Quelle grâce extraordinaire, n’est-ce pas? Remarquons-le, le Seigneur ne satisfait pas la curiosité des hommes. Les Écritures sont presque muettes en ce qui concerne nombre de sujets en rapport avec la création. Elles sont même d’une grande sobriété à ce propos. Par contre, incontestablement, Dieu répond au vrai besoin de sa créature. Il nourrit son âme. Il déclare à l’homme ce qu’il est et les relations que son Créateur souhaite entretenir avec lui.

Ainsi, le témoignage du péché de l’homme est éloquent et, plus encore, celui de la grâce de Dieu. Aussi, l’homme qui L’écoute trouve la paix et le repos. Oui, l’Éternel montre aux pécheurs le chemin qu’ils doivent tenir. Quel est-il? En réalité, comme nous l’avons déjà laissé entendre, il porte un Nom, Jésus-Christ. Le pardon des péchés, la réconciliation avec Dieu et la vie éternelle s’obtiennent par la foi au Fils de Dieu. Sans aucun doute, Il est vraiment le Sauveur du monde. Comprenons-le, c’est ici le message essentiel que nous devons recevoir et auquel nous devons obéir. Le reste n’a absolument aucune importance.

Pour finir, réalisons-le bien, les Écritures rendent témoignage de Jésus-Christ. Le but recherché n’est pas, bien entendu, de contenter l’insatiable curiosité de l’homme. N’en doutons pas, l’unique objectif est que, grâces à elles, nous connaissions le Seigneur et qu’ainsi, nous vivions par Lui! Ne nous est-ce pas tellement plus avantageux?

Ecclésiaste 3.10-11

J’ai vu l’occupation que Dieu a donnée aux hommes pour s’y exercer. Il a fait toute chose belle en son temps; même il a mis l’éternité dans leur cœur, sans que l’homme puisse toutefois comprendre, depuis le commencement jusques à la fin, l’oeuvre que Dieu fait.

 

23 Juin 2024

TOUT EST CORROMPU

La Parole de Dieu ne cesse de l’affirmer, le bien n’habite pas dans l’homme. En lui, rien n’est sain. Tout est contaminé par le péché. À quoi bon regimber contre ce témoignage? Pourquoi s’entêter à maintenir le contraire? Inutile de soigner les apparences. En le faisant, en réalité, nous ne sommes rien de plus que des sépulcres blanchis. La source du mal n’est pas extérieure. Non, elle vient de l’intérieur, elle vient du cœur. C’est pourquoi, n’en doutons pas, si guérison il doit y avoir, elle devra commencer d’abord par là.

Que ferons-nous désormais? Tout d’abord, il est impératif de reconnaître notre état. Nous sommes ruinés, il faut l’admettre. Autrement, il n’y a aucun remède. Certes, ceux qui ne sont pas malades n’ont aucun besoin d’être guéris. Le Seigneur l’a affirmé ouvertement, Il est venu pour chercher et sauver que ce qui était perdu. Ensuite, la foi est requise, la foi en Celui qui justifie l’impie. Remarquons-le, reconnaître son péché et pleurer dessus n’apporte pas le pardon.

Qu’avons-nous à offrir à Dieu en échange de nos âmes? Pour que sa dette lui soit remise, l’homme doit apporter une rançon que Dieu accepte. Toute la question est de savoir où il peut la trouver. La conscience, maintenant éveillée et troublée par la perspective du jugement divin, la recherche sans relâche. Tant que ce précieux trésor lui échappe, il est ni paix ni repos en vue. Les angoisses perdurent, et perdureront, jusqu’à ce qu’enfin le regard se porte sur le Christ en croix.

Ébahis, nous découvrons que le châtiment qui nous apporte la paix est tombé sur Lui. Dieu nous a aimés et a envoyé Son Fils en propitiation pour nos péchés. Voici, la dette est payée. Avec reconnaissance et soulagement, nous écoutons ces paroles du Christ: « Tout est accompli. » C’est ici la Bonne Nouvelle, c’est ici l’Évangile! Oui, là où le péché a abondé, la grâce y a abondé par-dessus! Mais ce n’est pas sans Jésus-Christ.

Esaïe 1.5-6

Où vous frapper encore si vous continuez vos révoltes? Toute la tête est malade, et tout le cœur languissant. De la plante du pied jusqu’à la tête, il n’y a rien de sain; ce ne sont que blessures, meurtrissures et plaies vives, qui n’ont point été pansées, ni bandées, ni adoucies avec l’huile.

 

24 Juin 2024

MON ÂME SE REPOSE EN JÉSUS-CHRIST SEUL, IL EST MON SALUT

L’homme a beau chercher le repos ici-bas, ses espoirs finissent invariablement par être déçus. Toujours son cœur est troublé et tourmenté. Ceux, et celles, qui ne peuvent se satisfaire de vulgaires mensonges pour tromper leur malaise l’admettent bien volontiers: ce monde est un désert. Il ne s’y trouve aucune stabilité, pas plus que d’eau pour étancher sa soif.

Peut-être quelqu’un parmi nos lecteurs est également parvenu à cette douloureuse conclusion. Peut-être éprouve-t-il cette sécheresse et soupire après du repos pour son âme. Dans ce cas, voici le conseil que nous donnent les Écritures. Du début jusqu’à la fin, elles ne cessent d’exhorter l’homme à ne placer sa confiance qu’en Dieu. Pour preuve, écoutons ce que nous rapporte le prophète Jérémie: « Béni soit l’homme qui se confie en l’Éternel, dont l’Éternel est la confiance! » Peut-il y avoir déclaration plus limpide? Les circonstances difficiles sont-elles épargnées à un tel homme? Non, pas du tout! Certes, diverses épreuves fondront sur lui. Certes, de violentes et puissantes tempêtes s’abattront probablement sur lui. Néanmoins, s’il garde la parole du Seigneur, si Dieu seul est son rocher, qu’a-t-il à craindre? Qui le privera de sa joie dans le Seigneur, et qui le privera de la paix qu’Il donne?

Dans la pratique, qu’il soit abattu ou plein d’assurance, sa confiance en Dieu ne diffère pas. Il sait que, quoi qu’il arrive, son Dieu est fidèle. Tel est son repos. Maintenant, n’en doutons pas, nous pouvons aussi faire cette expérience. Véritablement, le Seigneur Jésus invite encore aujourd’hui à s’approcher de Lui: « Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous soulagerai. » Combien douces sont ces paroles pour une âme épuisée et las, n’est-ce pas? C’est pourquoi, prêtons-Lui une oreille attentive et obéissons-Lui! Avant longtemps, pour sûr, nous pourrons nous associer au psalmiste et affirmer le cœur rempli d’allégresse: « Mon âme se repose en Dieu seul; c’est de lui que vient mon salut. »

Psaumes 62.2-3

Mon âme se repose en Dieu seul; c’est de lui que vient mon salut. Lui seul est mon rocher, ma délivrance, ma haute retraite; je ne serai pas beaucoup ébranlé.

 

25 Juin 2024

TOUT ESPOIR DE SALUT EST PERDU SANS JÉSUS-CHRIST

Nous le savons, rien n’est plus excellent pour un homme, ou une femme, que la connaissance du Seigneur Jésus. Néanmoins, conserver ce témoignage est loin d’être chose aisée. Mieux vaut en être conscients pour éviter d’aller au-devant d’amères déceptions. Voici, tous ceux qui veulent vivre selon la piété en Jésus-Christ, seront persécutés. N’en soyons donc pas étonnés!

Réalisons-le, ce trésor que nous avons dans un vase de terre est âprement disputé. La chair convoite contre l’Esprit, le monde nous hait, et le diable lui-même nous traque comme des proies à abattre. Les Écritures nous assurent que notre ennemi rôde, comme un lion rugissant, cherchant qui il pourra dévorer. Face à toute cette adversité, nous faut-il désespérer? Si nous prenions appui sur la chair, certes nous le devrions. Tout espoir de salut serait alors irrémédiablement perdu.

Toutefois, béni soit le Seigneur, ce n’est pas le cas. Notre foi et notre espérance sont en Dieu. Véritablement, il n’existe aucun fondement plus solide. Nous en sommes convaincus, notre Dieu est puissant pour nous affermir. En dépit des apparences, même les plus indiscutables, nous ne sommes pas abandonnés, jamais. Oui, Dieu nous fait toujours triompher en Christ. Maintenant, la Parole nous interroge ainsi: « Qui nous séparera de l’amour de Christ? Sera-ce l’affliction, ou l’angoisse, ou la persécution, ou la faim, ou la nudité, ou le péril, ou l’épée? » À ces questions répond cette affirmation pleine de consolation: « Non, dans toutes ces choses nous sommes plus que vainqueurs par Celui qui nous a aimés. »

Oui, au plus fort de l’épreuve, souvenons-nous en, nous sommes aimés! Prenons courage, ne permettons à rien ni personne de nous voler notre trésor! Par la grâce de Dieu, envers et contre tout, persévérons à confesser le précieux Nom de Jésus-Christ notre Sauveur!

Jean 15.20-21

Souvenez-vous de la parole que je vous ai dite: Le serviteur n’est pas plus grand que son maître. S’ils m’ont persécuté, ils vous persécuteront aussi; s’ils ont observé ma parole, ils observeront aussi la vôtre. Mais ils vous feront tout cela à cause de mon nom, parce qu’ils ne connaissent point celui qui m’a envoyé.

 

26 Juin 2024

SOLDAT DE CHRIST

Certes, le disciple n’est pas plus grand que le Maître. Si le monde a rejeté le Christ, il n’est pas étonnant qu’il rejette aussi les chrétiens qui gardent précieusement Son témoignage. Mais alors, que ferons-nous? Renoncerons-nous à notre grande espérance pour complaire aux hommes? Renierons-nous le Nom de notre précieux Sauveur pour nous conformer à ce présent siècle? Quelle idée insensée! Non, au contraire, persévérons et, d’un cœur résolu, endurons patiemment les diverses tentations qui surviendront. Surtout, ne leur permettons pas de semer le trouble en nous.

Voici, nous servons Christ le Seigneur. Si nous sommes à Lui, qui nous ravira de Sa main et qu’avons-nous à craindre? Aussi, lorsque le danger nous environnera de toutes parts et qu’il paraîtra que nous sommes abandonnés au milieu de la fournaise, sachons-nous en rappeler. Oui, dans ces temps d’afflictions et de persécutions, remémorons-nous qui nous avons cru. Alors, en nous appuyant sur notre Dieu, certainement nous reprendrons courage. C’est une certitude, Dieu nous fait toujours triompher en Christ.

Remarquons-le bien, c’est par Jésus-Christ que nous sommes vainqueurs. Il s’agit de Sa force, non de la nôtre. Si nous présumons de notre vigueur, ne nous y trompons pas, nous ne pourrons soutenir le combat jusqu’à son terme. Tôt ou tard, nous finirons par nous détourner et nous retirer du Maître. Nous viendrons à avoir honte de Lui et de Ses paroles, pour notre plus grand malheur. Que Dieu, dans Sa grâce, veuille nous garder d’une telle extrémité! Au milieu des tribulations de ce siècle, soldats de Jésus-Christ, combattons et, lorsque les temps sont difficiles, repassons cette pensée pleine de consolation dans nos cœurs: « Car j’estime qu’il n’y a point de proportion entre les souffrances du temps présent et la gloire à venir, qui sera manifestée en nous. » Quelle bienheureuse perspective!

1 Pierre 4.14-16

Si l’on vous dit des injures pour le nom de Christ, vous êtes bienheureux; car l’Esprit de gloire, l’Esprit de Dieu, repose sur vous. Il est blasphémé par eux, mais il est glorifié par vous. Que nul de vous ne souffre comme meurtrier, ou larron, ou malfaiteur, ou comme s’ingérant dans les affaires d’autrui. Mais s’il souffre comme chrétien, qu’il n’en ait point honte, mais qu’il glorifie Dieu à cet égard.

 

27 Juin 2024

REBEL AU MONDE, MAIS FIDÈLE À DIEU

Si la majorité est d’un avis, devons-nous nécessairement en conclure que celui-ci est bon? Non, assurément! Preuve en est, que la plupart des hommes méprisent et rejettent si loin qu’ils le peuvent, le témoignage de Jésus-Christ. Pourtant, nous le savons, Il est le Sauveur du monde. Maintenant, soyons-en pleinement convaincus, nous ne sommes pas tenus de nous joindre à ceux qui abandonnent la foi. Réalisons-le, ce n’est pas parce que le monde se meure dans l’incrédulité que nous devons mourir avec lui.

Véritablement, pourquoi marcherions-nous dans le noir puisque la lumière de la vie nous est offerte? La promesse du salut perdure toujours. Oui, la grâce de Dieu salutaire à tous les hommes a été manifestée. Voici, Dieu a tant aimé le monde qu’Il a donné Son Fils unique afin que quiconque croit en Lui ne périsse pas mais qu’il ait la vie éternelle. Impossible de l’ignorer, les moqueurs se rient de cette parole et les sages de ce siècle, du haut de leur suffisance, la dédaignent sans aucun remords. Pour autant, la fidélité de notre Dieu n’en demeure pas moins établie. Ceci est toujours vrai, quiconque croit en Jésus-Christ obtient la rémission des péchés par Son Nom. Aujourd’hui encore, celui qui invoquera le Nom du Seigneur sera sauvé.

Par conséquent, pourquoi se laisser influencer par la chair? Pourquoi écouter les bruits de ce monde corrompu? Enfin, pourquoi prêter l’oreille au diable qui, sans cesse, suggère ces pensées perverses: « Dieu a-t-Il réellement dit? » Non, ne laissons pas le doute gangrener nos vies. D’un cœur résolu, obéissons à la foi. Oui, les Écritures assurent que Dieu garde au cœur ferme une paix assurée, parce qu’il se confie en Lui. Assurément, c’est là tout notre désir! « Nous croyons Seigneur! Aide-nous dans notre incrédulité. »

Romains 3.3-4

Quoi donc? si quelques-uns n’ont pas cru, leur incrédulité anéantira-t-elle la fidélité de Dieu? Nullement! Mais que Dieu soit reconnu véritable, et tout homme menteur, selon qu’il est écrit: Afin que tu sois trouvé juste dans tes paroles, et que tu gagnes ta cause lorsqu’on te juge.

 

28 Juin 2024

SOUS LA CONDUITE DU BON BERGER

Chacun fait selon qu’il le trouve bon. Sans doute, ainsi pourrait se résumer sommairement l’idéal vers lequel le monde veut tendre. L’homme veut être libre et indépendant. En somme, il veut faire tout ce qu’il lui plait. Il y a seulement une vie à vivre disent-ils. Quelques-uns le déclarent même ouvertement, ils estiment être « sans Dieu ni loi ». Toutefois, est-ce vraiment la liberté, et trouve-t-on réellement le bonheur à vivre dans le dérèglement? Visiblement, non. À coup sûr, un simple coup d’œil autour de soi finira de nous en convaincre, si besoin en était. Le peuple est misérable et errant, comme un troupeau de brebis qui n’ont pas de berger.

Pourtant, il a plu à Dieu de placer l’humanité sous la conduite du bon Berger. Il a donné Son propre Fils pour montrer aux pécheurs le chemin du salut et pour les y accompagner. Ne fait-on pas grand mal à nos âmes en repoussant le témoignage de Jésus-Christ? En réalité, l’homme ne peut souffrir plus grande perte que celle-ci. Oui, en rejetant la lumière, il se condamne lui-même à demeurer toujours dans l’obscurité. Peut-on imaginer plus triste situation?

Au contraire, ceux qui s’abandonnent au Sauveur marchent d’un pas assuré et ne chancellent pas. Tout bien réfléchi, qui sinon le Berger a le recul nécessaire pour nous conduire en toute sagesse? Bien entendu, Il connaît les temps et les saisons de notre existence. C’est pourquoi, indéniablement, nous serons bien aisés d’écouter Celui qui se propose de nous les faire traverser. Les Écritures affirment que ceux qui empruntent ce chemin, même les insensés, ne s’égareront point. Quel précieux encouragement, n’est-ce pas? Malgré les tempêtes de la vie, si nous écoutons la voix du Seigneur Jésus, nous arriverons sur l’autre rive sans encombre.

Ne négligeons pas un si grand salut! Prêtons l’oreille, écoutons la voix du Seigneur; soyons attentifs, écoutons Sa Parole!

Esaïe 28.23-26

Prêtez l’oreille, écoutez ma voix; soyez attentifs, écoutez ma parole! Le laboureur qui veut semer, laboure-t-il toujours? Est-il toujours à ouvrir et à herser son terrain? Quand il en a aplani la surface, n’y répand-il pas l’aneth, n’y sème-t-il pas le cumin? Ne met-il pas le froment par rangées, l’orge à la place marquée, et l’épeautre sur les bords? Son Dieu lui enseigne la règle à suivre, et l’instruit.

 

29 Juin 2024

CAVALIER SEUL ?

Indiscutablement, nul ne peut prétendre remporter la course chrétienne en faisant cavalier seul. N’avons-nous pas tous constaté combien le péché nous enveloppe facilement? N’apercevons-nous pas à quel point il est aisé de se détourner du Dieu vivant pour retourner aux œuvres infructueuses de ce monde? Oui, prenons garde de ne pas présumer de nos forces! Le cœur est trompeur par-dessus tout, et désespérément malin. Certes, nous ne pouvons y placer aucune confiance.

Réfléchissons, quel bien nous reviendrait-il de faire face au combat en solitaire? Puisque nous sommes si vulnérables et exposés à un si grand danger, ne serait-ce pas prendre un risque considérable? Voici, si nous sommes seuls et qu’il nous arrive de tomber, qui nous relèvera? Quelqu’un pense-t-il être à l’abri des soucis de ce monde, de la séduction des richesses et des diverses passions qui se trouvent ici-bas? « Que celui donc qui croit demeurer debout, prenne garde qu’il ne tombe. » Telle est la mise en garde par laquelle les Écritures nous avertissent.

Que ferons-nous alors? Pendant qu’il est dit: « Aujourd’hui », exhortons-nous les uns les autres, usons de prévenance et encourageons-nous mutuellement à toujours persévérer dans la grâce de Dieu. Sans doute, en agissant ainsi, plusieurs seront préservés du naufrage quant à la foi en notre Seigneur Jésus-Christ. Souvenons-nous de ceci, nous sommes tous frères et membres du même Corps. C’est pourquoi, veillons à avoir les uns pour les autres un ardent amour ne souffrant pas qu’aucun ne se perd. Quel grand défi, n’est-ce pas? Croyons-le, si nous prenons appui sur notre Dieu, si nous comptons sur Sa grâce et Son secours, il est à notre portée de le relever!

Hébreux 3.12-13

Frères, prenez garde que quelqu’un de vous n’ait un cœur mauvais et incrédule, en se détournant du Dieu vivant. Mais exhortez-vous les uns les autres chaque jour, pendant qu’il est dit: Aujourd’hui; de peur que quelqu’un de vous ne s’endurcisse par la séduction du péché.

 

30 Juin 2024

BRISÉ ET ABANDONNÉ POUR NOUS

Sans nul doute, le plus tragique des « pourquoi » que nous pouvons lire dans la Parole de Dieu est celui que nous entendons au pied de la croix: « Mon Dieu! mon Dieu! Pourquoi m’as-tu abandonné? » Qui connaît l’intensité de la douleur que ces mots laissent transparaître? Qui peut rendre compte de l’angoisse endurée par l’âme de Celui qui les a prononcées? Oui, Jésus-Christ, notre Seigneur, a ainsi souffert. Méprisé, injurié et outragé, Il l’a été. Tout de même, Il a été brisé et mis au rang des malfaiteurs.

Pour quelle raison s’interroge peut-être quelqu’un? Pour accomplir l’ouvrage que Son Père Lui avait donné à faire. Jean-Baptiste, alors qu’il vit le Christ venir à lui, confessa: « Voici l’Agneau de Dieu, qui ôte le péché du monde. » Prêtons l’oreille à cette parole: Dieu L’avait destiné à être une victime propitiatoire pour nos péchés. Entendons cette parole de réconciliation: « Le châtiment qui nous apporte la paix est tombé sur Lui, et par Sa meurtrissure nous avons la guérison. » Pourquoi le Seigneur a-t-Il tant souffert? En somme, c’est pour nous.

Certes, comme le Maître, nous pouvons aussi souffrir des injures et des opprobres de la part des hommes. Néanmoins, nul d’entre nous n’aura, dans toute sa vie, à prononcer ces paroles si amères: « Mon Dieu! mon Dieu! Pourquoi m’as-tu abandonné? » Reconnaissons-le, le Christ a souffert l’abandon de tous, et en particulier celui de Dieu Lui-même, pour que nous n’ayons jamais à l’expérimenter nous-mêmes. Lui a été fait péché pour nous. Lui a supporté le châtiment que méritaient nos iniquités. Désormais, le fossé qui nous éloignait de notre Dieu est comblé pour toujours. Maintenant, il ne peut plus être question d’abandon pour quiconque demeure en Jésus-Christ.

C’est pourquoi, même au sein de l’adversité, prenons courage! Nous avons une grande promesse sur laquelle nous appuyer. Notre Seigneur a parlé en ces termes: « Et voici, je suis toujours avec vous jusques à la fin du monde. Amen. »

Psaumes 69.20-21

Toi, tu sais mon opprobre, et ma honte, et ma confusion; tous mes adversaires sont devant tes yeux. L’opprobre m’a brisé le cœur, et je suis languissant; j’ai attendu de la compassion, mais il n’y en a point; des consolateurs, mais je n’en trouve pas.