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01 Février 2024
L’INJUSTICE À NOS DROITS
Certes, se soumettre n’est pas un exercice facile. Il requiert de l’humilité. Qui peut prétendre être parfait sous ce rapport? Ne sommes-nous pas attachés à nos droits? Ne sommes-nous pas prompts à nous enflammer et à crier à l’injustice dès qu’il semble que le plus petit d’entre eux soit lésé? Néanmoins, le Seigneur Jésus nous invite au renoncement. Il nous engage à nous charger de notre croix et à Le suivre.
Pour nous en convaincre, considérons Sa vie, ne serait-ce qu’un instant. Nous ne tarderons pas à nous apercevoir que si nous souffrons des injustices, Il en a souffert au-delà de toute mesure. Toutefois, la Parole de Dieu nous assure que le Christ s’en remettait toujours à Celui qui juge justement. Aussi, bien plus que de garder le silence lorsqu’on l’outrageait, Il a porté le péché de plusieurs et a intercédé pour les coupables. Cloué au bois, voici ce que Jésus déclara: « Père, pardonne-leur, car ils ne savent ce qu’ils font. » Quel exemple!
Pour nous, prenons courage, empruntons le sentier ouvert par le Serviteur par excellence. N’ayons aucune crainte, nous n’y serons pas seuls. Le Seigneur saura nous soutenir. Alors, soyons-en sûrs, nous trouverons la paix que procure un total abandon entre les mains de Dieu. Dès alors, nous n’attendrons plus rien de la part des hommes. Quand bien même nous serions victimes d’outrages, de calomnies et d’injustices, notre cœur demeurera pourtant paisible. À la méchanceté et l’agressivité, nous répondrons par la bonté et la douceur. N’est-ce pas par une telle attitude que notre Dieu sera glorifié? Sans aucun doute!
C’est pourquoi, dès à présent, soumettons-nous aux autorités en place, même si elles ne nous sont pas favorables. Honorés ou méprisés, que notre conduite ne change pas. Prenons toujours à cœur de rendre honorable en toutes choses, et aux yeux de tous, la doctrine de Dieu, notre Sauveur. Oui, quoi que nous fassions, faisons tout pour la gloire de Dieu!
Romains 13.1-2
Que toute personne soit soumise aux puissances supérieures; car il n’y a point de puissance qui ne vienne de Dieu; et les puissances qui subsistent, ont été établies de Dieu. C’est pourquoi, celui qui s’oppose à la puissance, s’oppose à l’ordre que Dieu a établi; or ceux qui s’y opposent, attireront la condamnation sur eux-mêmes.
02 Février 2024
PLACEZ VOTRE CŒUR À LA BONNE PLACE
En dépit de ce qu’il peut en dire, l’homme ne se suffit pas à lui-même. Il est constamment insatisfait. Aussi essaie-t-il, par tous moyens, de combler ce si grand vide qu’il ressent. Son âme réclame inlassablement une espérance à laquelle s’attacher. Elle soupire désespérément après quelque nourriture pour assouvir sa faim et tromper son ennui. Pour répondre à cette attente, le monde propose aux hommes toutes sortes de plaisir. Il leur propose toutes sortes d’objets vers lesquels porter leurs désirs et leurs convoitises. Néanmoins, force est de constater que, malgré toutes ces occupations, ils ne parviennent toujours pas au contentement.
Quel enseignement pouvons-nous retirer de cela? Voici, ni l’argent, ni la nourriture, ni les plaisirs, ne peuvent jamais offrir à l’âme un repos durable. En réalité, ceux qui s’assurent en ces choses s’égarent. Que font-ils sinon marcher après des idoles? Elles ne sont pourtant que de vulgaires substituts au Rocher qui seul peut garantir une parfaite stabilité. Elles ne peuvent que couvrir de confusion et de honte les malheureux qui trouvent refuge auprès d’elles.
Pour nous, veillons à ne pas y mettre notre cœur. Prenons garde de ne pas nous laisser séduire. Autrement, nous serions enlacés et réduits à nouveau sous le joug de la servitude. Or, maintenant, c’est pour la liberté que notre Seigneur Jésus nous a affranchis! Assurément, notre foi et notre espérance reposent en Dieu. Oui, véritablement, nos âmes se nourrissent de Ses paroles et nous en sommes rassasiées.
Peut-être quelqu’un est-il interpellé par ces paroles? Amis lecteurs, et lectrices, il n’est pas trop tard pour espérer dans le Nom du Seigneur! Voici ce que nous dit Dieu encore aujourd’hui: « Regardez vers moi et soyez sauvés, vous tous les bouts de la terre! » Il nous offre Sa grâce, à nous d’y répondre!
Esaïe 45.21-22
Annoncez-le, faites-les venir, et qu’ils consultent ensemble! Qui a fait entendre ces choses dès l’origine, et les a déclarées dès longtemps? N’est-ce pas moi, l’Éternel? Et il n’y a point d’autre Dieu que moi. Il n’y a point de Dieu juste et sauveur, que moi. Regardez vers moi et soyez sauvés, vous tous les bouts de la terre! Car je suis Dieu, et il n’y en a point d’autre.
03 Février 2024
QUELLE EST VOTRE RICHESSE ?
Quelqu’un se glorifie-t-il de ses aptitudes intellectuelles, de son statut social ou de ses grandes richesses? Réalisons-le, notre Dieu, quant à Lui, n’en a que faire! Il ne fait pas de doute que le Seigneur n’est impressionné ni par un quotient intellectuel démesuré ni par un compte en banque bien garni. Devant Lui, le pauvre et le riche, sont placés au même niveau. Tous deux sont pécheurs et dépourvus de toute justice. Que reste-t-il alors de tout le faste de l’homme et de tout son train? Rien, absolument rien. Le riche pense-t-il soudoyer Dieu avec son argent? Le sage croit-il bénéficier d’un passe-droit sous prétexte de son grand savoir? Certes, ce ne sont que des rêveries. Notre Juge serait-Il corrompu? Certainement pas!
Quel espoir reste-t-il maintenant pour l’homme? Un seul, celui d’un avocat qui se lève pour prendre sa défense. Voici, Jésus-Christ est cet Avocat et Il propose de nous revêtir de Sa propre justice. C’est ici le grand Amour de Dieu pour l’humanité. Il a donné Son propre Fils pour sauver les hommes. L’Oeuvre de la croix nous parle des souffrances endurées par le Sauveur pour satisfaire la justice de Dieu. Le châtiment qui nous apporte la paix est tombé sur le Christ. Le péché devait être condamné et il l’a été. L’Oeuvre est désormais achevée. Voici, la dette est acquittée, la rançon est payée.
Nous le réalisons, notre justification ou notre condamnation, ne repose en définitive que sur une seule question. Croyons-nous, oui ou non, au Nom du Fils de Dieu? L’homme orgueilleux, hautain et imbus de sa personne peut-il recevoir ce témoignage? N’est-il pas trop suffisant pour se soumettre à cette parole de grâce? Est-il en mesure de saisir le don de Dieu avec simplicité de cœur? Non, sans doute. Dieu résiste aux orgueilleux, mais Il fait grâce aux humbles. Pour nous, que le Seigneur nous garde, dans Sa bonté, de nous élever et de présumer de nos forces, quelles qu’elles soient. Au contraire, soyons comme de petits enfants. Accueillons la Parole de Dieu avec douceur, sans dispute et sans bruit, en toute humilité!
1 Corinthiens 1.27-29
Mais Dieu a choisi les choses folles du monde pour confondre les sages, et Dieu a choisi les choses faibles du monde pour confondre les fortes, Et Dieu a choisi les choses viles du monde et les plus méprisées, même celles qui ne sont point, pour anéantir celles qui sont, afin que nulle chair ne se glorifie devant Lui.
04 Février 20234
LA FIDÉLITÉ DU SEIGNEUR JÉSUS
Le Seigneur est fidèle. N’oublions jamais cela, autrement nous risquerions de vaciller lorsque le temps de l’épreuve surviendra. Accablés par les hommes, par la souffrance et la douleur, les tentations, qui peut affirmer avec suffisance qu’il surmontera le tout? Certes, ce discours est celui de ceux, et celles, qui se confient en la chair. Pour nous, nous avons reconnu que nous ne pouvons rien faire par nous-mêmes. Si nous ne demeurons pas dans l’Amour du Christ, nous l’admettons bien volontiers, c’en est fait de nous!
C’est pourquoi, lorsque tout est paisible, ayons soin de développer notre relation avec le Seigneur. Fortifions-nous dans la grâce et cherchons à approfondir notre connaissance du Fils de Dieu. Alors, lorsque la tempête se lèvera, nous ne serons pas troublés. Nous ne serons, ni pris au dépourvu, ni démunis. Peut-être, notre Dieu semblera-t-Il absent de la scène et ne pas se préoccuper de notre sort. Sans doute, les médisants diront-ils que Dieu ne prend pas plaisir en nous, qu’Il nous a rejetés et qu’il n’y a plus d’espoir désormais. Les écouterons-nous? Laisserons-nous leurs paroles meurtrières nous vaincre et triompher de nous? Loin de là!
Au contraire, voici ce que nous ferons, nous proclamerons avec force le salut de notre Dieu! Oui, nous rendrons témoignage à Sa fidélité et donnerons gloire à Son Nom! Ne l’avons-nous pas remarqué, même poussés dans nos derniers retranchements, au bord de l’abandon, l’espérance qui se trouve en nous n’est jamais détruite. Elle est vivante. Croyons-le, elle ne nous trompera pas. Quoi qu’il arrive, nul ne pourra l’éteindre. En définitive, voici le résumé sommaire de notre glorieuse assurance: « C’est à toi, Éternel, que nous nous attendons; tu répondras, Seigneur, notre Dieu! »
Psaumes 38.15-16
Oui, je suis comme un homme qui n’entend point, et qui n’a point de réplique en sa bouche. Car c’est à toi, Éternel, que je m’attends; tu répondras, Seigneur, mon Dieu!
05 Février 2024
TOUS PÉCHÉS NON PARDONNÉS, MÈNE À LA MORT ÉTERNELLE
Les péchés peuvent-ils se classer par ordre de gravité? Est-il raisonnable de faire preuve d’indulgence envers ceux qui sont qualifiés de « petits »? Pour obtenir une réponse, nous devons nécessairement nous enquérir de la Parole de Dieu. Finalement, la vision qu’a l’homme de son propre péché importe peu, seule la pensée de Dieu à ce propos revêt une réelle importance. Or, que nous est-il dit? « Le salaire du péché, c’est la mort. » Fait notable, il n’est pas question ici d’une quelconque distinction. La pénalité appliquée à toutes les transgressions est la même.
Bien sûr, les conséquences immédiates d’un péché par rapport à un autre, sont différentes. Par exemple, le fait de haïr une personne n’aura évidemment pas les mêmes répercussions que celui de commettre un meurtre. Cependant, il n’en demeure pas moins vrai que, dans l’absolu, la sentence rendue pour ces deux péchés soit identique, à savoir, la mort. Comprenons-le bien, notre Dieu est lumière et il n’y a en Lui nulle ténèbres. Il n’use d’aucune connivence, si petite soit-elle, avec le péché.
Certes, cette parole a de quoi nous remplir d’effroi. Qui donc sera déclaré juste? Nous le savons bien, il n’est pas d’homme qui ne pèche jamais. Le témoignage biblique à ce sujet est on ne peut plus explicite. Nous avons pourtant une Bonne Nouvelle à annoncer, le Message de l’Évangile de Jésus-Christ! Voici, l’Agneau de Dieu, qui ôte le péché du monde a paru. Une rançon pour nos péchés a été pourvue. Le châtiment qui nous apporte la paix est tombé sur Lui. Dieu a traité en pécheur Son propre Fils pour nous, afin que nous, nous devenions justes de la justice de Dieu en Lui. Quel intarissable sujet d’actions de grâces!
En définitive, tout péché, si « petit » soit-il, attire la condamnation. En revanche, il n’est pas de péché si « grand » que Dieu ne puisse pardonner, MISE À PART LE PÉCHÉ IMPARDONNABLE. Le salaire du péché, c’est la mort; mais le don de Dieu, c’est la vie éternelle en Jésus-Christ notre Seigneur.
Luc 13.2-3
Et Jésus, répondant, leur dit: Pensez-vous que ces Galiléens fussent plus grands pécheurs que tous les autres Galiléens, parce qu’ils ont souffert ces choses? Non, vous dis-je; mais si vous ne vous repentez, vous périrez tous de même.
06 Février 2024
JÉSUS CHRIST EST LE SEUL QUI ÔTE LES PÉCHÉS
Qui peut dire que Dieu soit indifférent aux gémissements et aux souffrances des hommes? Cela n’est rien moins qu’une ignoble calomnie! Quelques-uns reprochent à Dieu les guerres, la maladie, les injustices et toutes les douleurs qui sont endurées sous le soleil. Néanmoins, n’est-ce pas le péché qui est à l’origine de toutes ces choses? Par un seul homme le péché est entré dans le monde, et par le péché la mort. Par conséquent, est-il juste d’en blâmer Dieu? L’homme est coupable, désobéissant et rebelle. La vérité est que Dieu ne lui doit rien, absolument rien. En revanche, l’homme Lui est infiniment redevable.
Maintenant, les choses ayant été remises dans leur contexte, il serait incorrect d’affirmer que Dieu n’a aucun égard pour ce monde. En réalité, c’est précisément le contraire qui est vrai. Qu’enseigne Sa Parole à ce propos? Voici, Dieu a tant aimé le monde qu’Il a donné Son Fils unique afin que quiconque croit en Lui ne périsse pas mais qu’il ait la vie éternelle. Réalisons-le, notre besoin le plus urgent a été comblé. La question de notre péché a été traitée une fois pour toutes. À ce sujet, les Écritures sont tout à fait claires. Elles garantissent que Jésus-Christ a paru une seule fois pour abolir le péché, en se sacrifiant Lui-même. N’est-ce pas ici l’Amour? De quelle plus grande preuve avons-nous besoin?
Le fait est que Dieu nous a aimés et qu’Il a envoyé Son Fils en propitiation pour nos péchés. Nous étions enfants de colère, et maintenant, par la foi en Jésus, nous sommes enfants de lumière. Le contraste est saisissant. Désormais, pourquoi résister? Bénissons seulement le Seigneur, notre Dieu, et laissons-nous emporter par les courants de Son grand Amour!
Psaumes 102.20-23
Parce qu’il aura regardé du lieu élevé de sa sainteté, et que des cieux l’Éternel aura jeté les yeux sur la terre, Pour entendre les gémissements des captifs, pour délivrer ceux qui sont voués à la mort; Afin qu’on célèbre en Sion le nom de l’Éternel, et sa louange dans Jérusalem, Quand tous les peuples s’assembleront, et tous les royaumes, pour servir l’Éternel.
07 Février 2024
INCROYANT AU NÉCESSAIRE ET CROYANT AUX CHOSES SUPERFÉTATOIRES
Certes, étroite est la porte et resserrée la voie qui mènent à la vie. Qui prétendra le contraire? Ce chemin implique un total renoncement à soi-même et, dans le même temps, une confiance absolue en Celui qui nous appelle. Or, l’incrédulité n’est-elle pas la tendance naturelle du cœur humain? Lorsque les difficultés surviennent, notre premier réflexe n’est-il pas si souvent de prendre appui sur le bras de la chair? Alors, nous apprenons, à nos dépens, que lorsque la foi n’est pas entièrement dirigée vers le Seigneur Jésus, nous allons d’échec en échec.
La Parole de Dieu affirme que les croyants sont morts au péché, mais vivants à Dieu en Jésus-Christ le Seigneur. Tant que nous ne le réalisons pas, où est notre victoire? Où sont notre délivrance et notre liberté? Il est indispensable que nous apprenions cette leçon. Elle nous est, ô combien, salutaire. Autrement, si nous décidons de marcher par la chair, peut-être pourrons-nous donner le change l’espace d’un instant mais, ne nous berçons pas d’illusions, ce ne sera que temporaire.
Combien de temps tiendrons-nous? Peut-être quelques jours, quelques mois ou années? Nous finirons pourtant malheureusement par tomber, et abandonner la course. Il y a un célèbre dicton qui dit: « Chassez le naturel, il reviendra au galop. » Sans aucun doute, ceci est vrai. Si nous marchons en comptant sur nos forces, c’est une certitude, tôt ou tard, nous en ferons l’amère expérience. Ne savons-nous pas que le cœur de l’homme est mauvais? Comment pourrait-il en sortir quelque chose de bon, en dépit même de nos plus grands efforts?
Que ferons-nous alors? Une seule chose, lâchons prise. Espérons seulement dans le Nom du Christ Jésus. Véritablement, Il est notre seul espoir. Il est Lui-même le Chemin que nous sommes invités à emprunter. N’y manquons pas et, bien vite, nous constaterons par expérience que là où est l’Esprit du Seigneur, là est la liberté!
Matthieu 7.13-14
Entrez par la porte étroite; car large est la porte et spacieuse est la voie qui mènent à la perdition, et il y en a beaucoup qui y entrent. Car étroite est la porte et resserrée la voie qui mènent à la vie, et il y en a peu qui la trouvent.
08 Février 2024
LE SALUT EST ENCORE LÀ
Notre Dieu pardonne abondamment. Quelle pensée réconfortante, n’est-ce pas? Puisque la grâce nous est offerte, pourquoi persévérer à mal faire? Pourquoi persévérer à suivre nos mauvaises voies? Au contraire, la grâce nous enseigne à renoncer à l’impiété et aux convoitises mondaines, et à vivre, en ce présent siècle, dans la tempérance, dans la justice, et dans la piété.
Maintenant, tous les hommes sont appelés à la repentance et à placer leur foi dans le Nom de Jésus-Christ pour la rémission des péchés. Ne le réalisons-nous pas, Dieu nous offre gratuitement une espérance extraordinaire! Est-ce peu de chose, à nos yeux, que la perspective de la vie éternelle? Cet Appel retentit aujourd’hui encore, voici le jour du salut. Peut-être sera-ce encore le cas demain, mais qui sera assez fou pour prendre le risque d’attendre?
Ô âme noircie par le péché et chargée d’innombrables iniquités, sache-le, le sang du Fils de Dieu purifie de toute iniquité! En un instant, ce fardeau si lourd peut-être définitivement ôté. Tous les pécheurs sont invités à s’approcher, même le plus vil parmi eux. Soyons-en persuadés, la justice du Christ est suffisante pour tous les justifier. Ceux qui ont part à l’aspersion de Son précieux sang sont rendus blancs, plus blancs que neige!
Pour l’heure, gardons-nous soigneusement d’abuser de la patience de Dieu. À n’en pas douter, le jour viendra où elle prendra fin. Dès alors, la porte sera fermée, il sera trop tard. L’âme qui aura méprisé la grâce devra faire face au terrible jugement. Y a-t-il chose plus terrible que de tomber entre les mains du Dieu vivant? Non, assurément! C’est pourquoi, ne tardons plus, revenons à Lui le cœur contrit et brisé avec l’espoir d’obtenir miséricorde. Croyons-le, nous ne serons pas déçus! Oui, notre Dieu pardonne abondamment!
Esaïe 55.6-7
Cherchez l’Éternel pendant qu’il se trouve; invoquez-le, tandis qu’il est près! Que le méchant abandonne sa voie, et l’homme injuste ses pensées; et qu’il retourne à l’Éternel, qui aura pitié de lui, et à notre Dieu, car il pardonne abondamment.
09 Février 2024
L’EAU VIVE DE JÉSUS CHRIST
Par expérience, nous pouvons tous, et toutes, l’affirmer: l’homme n’est jamais satisfait. Sans arrêt, il s’agite et court après de nouvelles expériences. Il faut profiter de la vie, dit-il. Alors, le voici en train de s’affairer pour assouvir ses désirs d’argent, de matériel, de succès, ou encore de pouvoir. En réalité, la convoitise qui l’anime ne laisse aucun repos à son cœur. Pourtant, quoi qu’on en dise, toute cette peine est perdue. En dépit de tous ces efforts, rien n’y fait, l’âme demeure désespérément languissante et altérée.
Bien sûr, ce constat n’a rien de réjouissant. Nous devons bien admettre que l’eau dont le monde abreuve ses habitants n’étanche pas vraiment la soif. Tout au plus en donne-t-elle l’illusion l’espace d’un instant. Toutefois, le moment qui suit, il ne reste déjà plus que de l’amertume. De toute évidence, si quelqu’un aspire à un contentement durable, il lui faudra le chercher ailleurs que dans le monde. Est-ce à dire que cette cause est désespérée? Non, Dieu en soit loué!
Il est quelqu’un qui donne gratuitement de l’eau vive. « Qui est donc cette Personne merveilleuse? » s’exclamera sans doute quelqu’un. Les Écritures nous Le présentent! C’est de Lui dont elles rendent abondamment témoignage! Il s’agit de notre Seigneur Jésus, le Fils de Dieu Lui-même! C’est sûr, nous avons tant besoin de boire de l’eau dont Il dispose. Voici, Ses paroles sont esprit et vie. Qui pourrait s’en passer? En buvant Son eau, nous n’aurons plus jamais soif. Même, elle deviendra en nous une source d’eau qui jaillira pour la vie éternelle! Quelle perspective extraordinaire, n’est-ce pas?
Quelqu’un cherche le repos pour son âme, il le trouvera auprès du Seigneur Jésus. Quelqu’un désire être toujours contenté, alors il doit venir au Christ Jésus! Oui, vraiment, c’est en Lui que nous avons tout pleinement. Maintenant, sans plus attendre, abandonnons nos citernes crevassées et demandons humblement au Seigneur de nous donner à boire. Il a promis de donner gratuitement de la source d’eau vive à celui qui a soif.
Jean 4.10
Jésus répondit et lui dit: Si tu connaissais le don de Dieu, et qui est celui qui te dit: Donne-moi à boire, tu lui demanderais toi-même, et il te donnerait de l’eau vive.
10 Février 2024
CHRIST DOIT ÊTRE LE CENTRE DE NOTRE VIE
Le Seigneur exige notre cœur tout entier. Celui qui vient à Lui est invité à renoncer à tout ce qu’il a, jusqu’à sa propre vie. Qui refuse de le faire ne peut Le suivre. Pour le disciple, il n’y a plus qu’une seule chose qui revêt une valeur véritable: l’excellence de la connaissance de Jésus-Christ. Toutes les autres choses sont regardées comme une perte. Ainsi, si nous désirons que la joie de l’Éternel soit notre force, il nous faut abandonner celle que nous trouvons au monde. Si nous aspirons à la paix que Jésus donne, nous devons nécessairement renoncer à tous substituts. Tout compromis est absolument exclus. Impossible de clocher des deux côtés.
De toute évidence, un choix clair s’impose à nous. Soit, nous servons Christ le Seigneur, soit, nous servons le monde et son prince. Nous ne pouvons emprunter une voie médiane, et pour cause, elle n’existe tout simplement pas. Il faut choisir son camp. Cela signifie-t-il que nous devrions négliger notre famille, notre travail, ou encore notre vie sociale? Non, bien sûr non! Au contraire, ayons soin des nôtres et acquittons-nous avec fidélité de nos tâches. Par contre, veillons soigneusement sur la relation que nous entretenons avec le Seigneur. Rien ni personne ne devrait pouvoir s’interposer. Voici, le Christ est notre Maître et Ses intérêts prévalent sur toutes autres considérations.
En outre, Il est le seul sur qui nous devrions prendre appui. Oui, nous avons toute plénitude en Christ. Nous n’avons besoin de rien sinon de Lui. Tout peut s’effondrer, nous pouvons tout perdre, mais le fondement sur lequel nous prenons appui reste toujours ferme. En somme, Christ est notre vie. Les Écritures affirment que là où est notre trésor, là sera aussi notre cœur. Indiscutablement, l’opprobre de Christ est un trésor bien plus grand que les richesses de l’Égypte! C’est pourquoi, n’hésitons plus, venons au Seigneur dès maintenant!
Luc 14.26-28
Si quelqu’un vient à moi, et ne hait pas son père, sa mère, sa femme, ses enfants, ses frères, ses soeurs, plus encore sa propre vie, il ne peut être mon disciple. Et quiconque ne porte pas sa croix, et ne me suit pas, ne peut être mon disciple. Car qui de vous, voulant bâtir une tour, ne s’assied premièrement, et ne calcule la dépense, pour voir s’il a de quoi l’achever?
11 Février 2024
CONDAMNÉ(E) JE SUIS, SANS JÉSUS-CHRIST
Tous autant que nous sommes, nous sommes des êtres pécheurs. Du moment que l’homme est considéré sur le terrain de sa responsabilité, la ruine est totale. Non, il n’habite aucun bien en lui, absolument aucun. En dépit des belles apparences, il est dépourvu de toute justice et n’a pour manteau que le péché qui l’enveloppe.
Et maintenant? Quel espoir reste-t-il? La mort serait la seule perspective? Assurément, nous serions contraints de répondre par l’affirmative si Dieu n’avait pas manifesté Sa grâce. Toutefois, au milieu de ces ténèbres, il est possible de voir reluire la lumière. Voici, Dieu a préparé un grand salut. Il a donné un Sauveur à l’humanité perdue. Quelle grande et merveilleuse nouvelle, n’est-ce pas?
Seulement, qui est concerné par cette offre si généreuse? Uniquement les pécheurs. Ne devrions-nous pas être attentifs à cette réponse? Jésus-Christ n’est venu au monde que pour sauver les pécheurs. C’est en leur faveur que Son précieux sang a été répandu. Quant aux justes, ou plutôt ceux qui prétendent l’être, ils n’en obtiennent pas l’aspersion. Ces malheureux n’auront que leur justice souillée à faire valoir devant Dieu. Autant dire qu’elle ne pèsera pas bien lourd vu les charges qui sont retenues contre eux. C’est pourquoi, prenons garde de ne pas mépriser l’Évangile du Seigneur.
Bien loin de nous associer au nombre des incrédules et des moqueurs, humilions-nous plutôt sous la puissante main de Dieu. Devant Lui, reconnaissons notre condition misérable et désespérée, puis trouvons refuge auprès de Son Fils. Alors, comme la multitude qui nous a précédés, nous ferons l’expérience de l’Amour rédempteur du Christ. Pour finir, sans la moindre hésitation, nous joindrons notre voix à celle de l’apôtre et nous confesserons cette parole: « Jésus-Christ est venu au monde pour sauver les pécheurs, dont je suis le premier. »
1 Timothée 1.15
Cette parole est certaine et digne de toute confiance; c’est que Jésus-Christ est venu au monde pour sauver les pécheurs, dont je suis le premier.
12 Février 2024
DE MORT À VIVANT
C’est une évidence, il n’est aucun enseignement qui puisse nous être plus bénéfique que celui de la Parole de Dieu. Qui peut dire le nombre des douleurs qui sont épargnées à ceux, et celles, qui reçoivent humblement son conseil? Indéniablement, nos âmes seront en prospérité si nous y prenons garde. Nul ne peut raisonnablement douter des bonnes intentions du Père céleste.
« Pourquoi? » demandera peut-être un de nos lecteurs. Comment pouvons-nous être sûrs que Dieu désire notre bonheur, et non notre malheur? Les Écritures nous l’assurent, l’Éternel ne prend pas plaisir à la mort du méchant. Non seulement Il ne s’en réjouit pas, mais plus encore, Il montre au pécheur la voie qu’il doit suivre. Quel est ce chemin? Il porte un Nom merveilleux, Jésus-Christ. Lui-même est la preuve éclatante de l’Amour de Dieu pour le monde. Voici, Il a donné Son propre Fils afin que nous vivions par Lui.
Certes, il est bon que nous réalisions que Dieu nous aime. Si nous le savons, ce ne sera pas à regret que nous nous soumettrons à Ses commandements. Ce ne sera pas non plus par crainte de Son jugement. Celui qui croit dans le Nom du Seigneur en est libéré, une telle personne est passée de la mort à la vie. Quelle sera donc la motivation qui nous poussera à l’obéissance? Le désir de plaire à Celui qui nous a fait grâce et l’assurance que ce que le Seigneur prescrit ne l’est que pour notre bien.
Voici, nous n’obéirons plus par contrainte, mais de bon cœur. C’est alors que nous constaterons avec bonheur que, véritablement, Ses commandements ne sont pas pénibles. Maintenant que nous savons toutes ces choses, que ferons-nous? Écoutons simplement le Père s’adressant à nous avec tendresse. Il nous invite à revenir à Lui et à placer notre foi dans le Nom de Son précieux Fils. Soyons-en pleinement persuadés, là seront notre salut, notre joie et notre contentement.
Proverbes 3.1-2
Mon fils, n’oublie point mon enseignement, et que ton cœur garde mes commandements. Car ils t’apporteront de longs jours, et des années de vie, et la prospérité.
13 Février 2024
SEULEMENT JÉSUS-CHRIST SAUVE
En dehors de Christ, il ne se trouve aucune liberté. Si quelqu’un prétend le contraire, si quelqu’un prétend nous l’offrir, surtout ne l’écoutons pas! C’est un menteur! Réfléchissons, un aveugle conduirait-il un autre aveugle? Évidemment, tous deux finiront dans la fosse. Jésus-Christ seul est la lumière du monde. Il n’est point de salut ni d’espérance véritable pour ceux qui rejettent Son témoignage. Quoique l’homme regimbe et préfère croire au mensonge, la vérité de Dieu n’en est pourtant pas amoindrie. Nul ne viendra jamais au Père sinon par le Fils. Il n’y a pas d’autre chemin.
C’est pourquoi, puisque nous sommes avertis, ne soyons pas insensés, ne prêtons pas l’oreille aux discours mondains. Gardons-nous de la prétendue science et de la philosophie de ce monde. Autrement, nous risquerions d’être séduits et emportés! Plutôt, attachons-nous au bon Berger et laissons-Le nous conduire. Quiconque est de la vérité écoute Sa voix. C’est indiscutable, nous avons besoin d’être enracinés et fondés en Jésus-Christ. Si notre connaissance du Fils de Dieu est superficielle et légère, impossible de soutenir le combat dans la durée!
Voici, il est absolument nécessaire qu’Il habite dans nos cœurs par la foi. Si nous n’avons pas la pensée de Christ, comment résisterons-nous? Comment tiendrons-nous ferme face à l’adversité et aux ruses de l’ennemi? Réalisons-le, en dehors de Christ, nous sommes désemparés et exposés à tous les dangers. Par contre, si nous demeurons en Lui, si nous nous reposons dans le creux de Sa main, nous sommes réellement en sécurité. Nul ne nous en ravira. Telle est notre assurance et notre confiance dans le Seigneur!
Colossiens 2.6-8
Ainsi, comme vous avez reçu le Seigneur Jésus-Christ, marchez avec lui, Enracinés et fondés en lui, et affermis dans la foi, selon que vous avez été enseignés, abondant en elle, avec actions de grâces. Prenez garde que personne ne vous séduise par la philosophie et par de vaines tromperies, selon la tradition des hommes, selon les rudiments du monde, et non selon Christ.
14 Février 2024
DIEU NOUS A AIMÉ LE PREMIER
Si nous connaissons que nous sommes des êtres pécheurs, où sera notre paix? Sera-ce dans les choses de la terre? Certes non, tout n’y est que vanité et rongement d’esprit. Il est absolument certain que rien dans le monde ne peut tranquilliser une conscience éveillée. Ni la science ni les vains artifices qui s’y trouvent ne peuvent éteindre ces terribles angoisses. On peut bien multiplier les activités et maintenir l’esprit occupé par toutes sortes d’occupations, le cœur n’en demeure pas moins toujours troublé.
Et pour cause, qui peut accorder le pardon sinon Dieu? Tant que nous ne l’obtenons pas, la crainte du châtiment est latente et remplit continuellement l’âme d’amertume. En réalité, l’homme ne peut vivre en paix que dans la mesure où il croit en l’Amour que Dieu lui porte. N’en doutons pas, il n’existe aucun autre repos que celui-ci. Inutile de chercher ailleurs, inutile de parcourir monts et vallées, ce serait peine perdue. Voici, le juste vivra par la foi. Si nous refusons de nous soumettre à l’obéissance de la foi, nos cœurs seront agités et alarmés toute notre vie.
Dieu a tant aimé le monde qu’Il a donné Son Fils unique afin que quiconque croit en Lui ne périsse point mais qu’il ait la vie éternelle. Telle est la promesse qui nous est faite. Dieu nous indique que le Nom de Son Fils sera notre refuge. Il n’y a maintenant plus aucune condamnation pour ceux qui sont en Jésus-Christ. En Lui, nous sommes pleinement pardonnés, réconciliés, acceptés et justifiés. Si nous en sommes convaincus, si nous avons l’assurance que Dieu nous aime, quelle punition reste-t-il à craindre? En revanche, si nous gisons dans l’incrédulité, nous sommes privés de tout secours et n’avons pour partage qu’effroi et tourments.
C’est pourquoi, dès à présent, sans plus tarder, demandons grâce à Dieu. Supplions-Le de nous révéler Son Amour en Christ. Là sera notre délivrance. Là sera notre salut!
1 Jean 4.18-19
La crainte n’est pas dans l’amour, mais l’amour parfait bannit la crainte ; car la crainte suppose un châtiment, et celui qui craint n’est pas parfait dans l’amour. Pour nous, nous l’aimons, parce qu’il nous a aimés le premier.
15 Février 2024
LA PAROLE DE DIEU N’EST PAS LIÉE
Lorsque l’adversité augmente, lorsque la fatigue et la lassitude se font ressentir, il est sans doute temps, l’espace d’un moment, de mettre entre parenthèses toutes nos activités pour nous recentrer sur l’essentiel. Autrement, l’épuisement et le découragement ne tarderaient pas à nous gagner. Souvenons-nous de la raison de notre combat. Souvenons-nous de Jésus-Christ.
Tout dans ce monde est contraire à la piété. Néanmoins, coûte que coûte, revêtus des armes de Dieu, nous luttons pour garder la foi et maintenir le témoignage de Christ. Sans contredit, l’enjeu est considérable! Le Fils de Dieu est le seul qui révèle le Père, le seul qui nous donne accès à Lui. Réalisons-le, privés de la connaissance de Jésus-Christ, il ne reste plus ni pardon, ni réconciliation, ni espérance, ni salut. Si l’adversaire parvient à obscurcir la lumière du Christ, tout espoir est perdu pour l’humanité. C’est pourquoi, ne nous relâchons pas, ne baissons pas les bras! Ne renonçons pas au Nom du Seigneur, jamais!
Évidemment, les conséquences d’un abandon seraient désastreuses. Quel message délivrons-nous si nous abandonnons? Un aveu de défaite ne reviendrait-il pas à affirmer que notre Dieu est dans l’incapacité de sauver? Ainsi, nous décourageons ceux qui veulent s’approcher du Seigneur et saisir la parole de Sa grâce. Plus grave encore, nous ternissons l’honneur de Celui qui nous a enrôlés.
Que ferons-nous alors si nous souffrons? Recommandons seulement nos âmes à Dieu. Oui, Il est fidèle. Notre assurance est qu’Il nous fait toujours triompher en Christ. Véritablement, en dépit de toutes apparences, nous sommes plus que vainqueurs, par Celui qui nous a aimés. Nous ne sommes pas seuls. Le Seigneur l’a promis, Il est toujours avec les Siens. Aussi, au milieu de la fournaise de l’épreuve, du rejet et de la persécution, conservons-nous dans l’amour de Dieu, en attendant la miséricorde de notre Seigneur Jésus-Christ pour la vie éternelle. Oui, souvenons-nous de Jésus-Christ!
2 Timothée 2.8-9
Souviens-toi de Jésus-Christ, ressuscité des morts, issu de la race de David, selon mon Évangile, Pour qui je souffre jusqu’à être lié comme un malfaiteur, mais la parole de Dieu n’est point liée.