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  01 Juillet 2024 

LES CHOSES VISIBLES vs LES CHOSES INVISIBLES

Les choses visibles sont pour un temps, mais les invisibles sont éternelles. Ne sont-ils pas nombreux ceux qui oublient cela? La convoitise des richesses n’a-t-elle pas gagné le cœur de plusieurs qui, par amour pour le siècle présent, abandonnent la foi et la perspective de la félicité éternelle? Bien sûr, il est plus simple de se fier aux choses que l’on voit puisqu’elles sont physiques et donc palpables. Pourtant, tout bien réfléchi, ce ne sont que des vanités. La Parole nous l’assure, le monde passe avec sa convoitise. À quoi bon posséder de belles maisons, de belles voitures, montres, ou tout autre bien, si finalement il faut perdre son âme? Cette question ne mérite-t-elle pas que l’on y réfléchisse avec le plus grand sérieux?

Sans doute, nous serions sages de toujours nous souvenir que nous repartirons de cette terre comme si nous y avons été introduits, nus. Assurément, ce qui a une réelle importance, ce qui nous rend réellement riches est de connaître le Seigneur Jésus. Soyons-en persuadés, toutes choses sont comme des ordures en comparaison de l’excellence de cette connaissance. Qui est riche sinon celui qui Le connait? Qui est riche sinon celui qui vit selon la piété en Jésus-Christ?

Peut-être quelqu’un s’interroge, se demandant en quoi consiste cette si grande prospérité? Pour réponse, nous citerons ce passage des Écritures: « Car autant qu’il y a de promesses de Dieu, elles sont, Oui en Lui, et Amen en Lui, à la gloire de Dieu par nous. » Certainement, si nous sommes trouvés en Jésus-Christ, bien qu’il ne paraisse pas encore, nous possédons toutes choses. Par Son Nom, nous obtenons la rémission des péchés et la paix avec Dieu. Par Son Nom, nous obtenons le salut et la vie éternelle. Certes, aujourd’hui, c’est en espérance que nous les savons nôtres. C’est bien là le propre de la foi. Elle est une ferme attente des choses qu’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit point. Aussi, par la grâce de Dieu, nous poursuivons ce combat avec persévérance. Si Dieu le permet, nous le soutiendrons jusqu’à obtenir l’effet de la promesse. Nous combattrons jusqu’à temps que ce qui n’était encore que foi et espérance, prenne corps. Alors, nous verrons ce que nous avons d’abord entendu et cru.

Indiscutablement, le juste vivra par la foi. Inutile de porter des regards envieux sur les richesses de ce monde: elles sont corrompues et trompeuses. Nous concernant, investissons pour le ciel, c’est le seul et unique placement à l’abri des voleurs, des dévaluations et des krachs boursiers!

Matthieu 6.19-21

Ne vous amassez pas des trésors sur la terre, où les vers et la rouille gâtent tout, et où les larrons percent et dérobent; Mais amassez-vous des trésors dans le ciel, où les vers ni la rouille ne gâtent rien, et où les larrons ne percent ni ne dérobent point; Car où est votre trésor, là sera aussi votre cœur.

 

02 Juillet 2024 

UN TRÉSORS

Les choses visibles sont pour un temps, mais les invisibles sont éternelles. Ne sont-ils pas nombreux ceux qui oublient cela? La convoitise des richesses n’a-t-elle pas gagné le cœur de plusieurs qui, par amour pour le siècle présent, abandonnent la foi et la perspective de la félicité éternelle? Bien sûr, il est plus simple de se fier aux choses que l’on voit puisqu’elles sont physiques et donc palpables. Pourtant, tout bien réfléchi, ce ne sont que des vanités. La Parole nous l’assure, le monde passe avec sa convoitise. À quoi bon posséder de belles maisons, de belles voitures, montres, ou tout autre bien, si finalement il faut perdre son âme? Cette question ne mérite-t-elle pas que l’on y réfléchisse avec le plus grand sérieux?

Sans doute, nous serions sages de toujours nous souvenir que nous repartirons de cette terre comme nous sommes venus, c’est-à-dire NUS ! Assurément, ce qui a une réelle importance, ce qui nous rend réellement riches est de connaître le Seigneur Jésus. Soyons-en persuadés, toutes choses sont comme des ordures en comparaison de l’excellence de cette connaissance. Qui est riche sinon celui qui Le connait? Qui est riche sinon celui qui vit selon la piété en Jésus-Christ?

Peut-être quelqu’un s’interroge, se demandant en quoi consiste cette si grande prospérité? Pour réponse, nous citerons ce passage des Écritures: « Car autant qu’il y a de promesses de Dieu, elles sont, Oui en Lui, et Amen en Lui, à la gloire de Dieu par nous. » Certainement, si nous sommes trouvés en Jésus-Christ, bien qu’il ne paraisse pas encore, nous possédons toutes choses. Par Son Nom, nous obtenons la rémission des péchés et la paix avec Dieu. Par Son Nom, nous obtenons le salut et la vie éternelle. Certes, aujourd’hui, c’est en espérance que nous les savons nôtres. C’est bien là le propre de la foi. Elle est une ferme attente des choses qu’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit point. Aussi, par la grâce de Dieu, nous poursuivons ce combat avec persévérance. Si Dieu le permet, nous Le soutiendrons jusqu’à obtenir l’effet de la promesse. Nous combattrons jusqu’à temps que ce qui n’était encore que foi et espérance, prenne corps. Alors, nous verrons ce que nous avons d’abord entendu et cru.

Indiscutablement, le juste vivra par la foi. Inutile de porter des regards envieux sur les richesses de ce monde: elles sont corrompues et trompeuses. Nous concernant, investissons pour le ciel, c’est le seul et unique placement à l’abri des voleurs, des dévaluations et des krachs boursiers!

Matthieu 6.19-21

Ne vous amassez pas des trésors sur la terre, où les vers et la rouille gâtent tout, et où les larrons percent et dérobent; Mais amassez-vous des trésors dans le ciel, où les vers ni la rouille ne gâtent rien, et où les larrons ne percent ni ne dérobent point; Car où est votre trésor, là sera aussi votre cœur.

 

03 Juillet 2024

LA JOIE EN L’ÉTERNEL

Sans doute, la vie est difficile. Qui que nous soyons, nous connaissons tous, et toutes, notre lot de difficultés. Bien évidemment, personne ne le nie ni même ne le conteste. Néanmoins, nous avons réellement sujet de nous réjouir. Certes, la joie dont nous nous entretenons ici n’est pas celle du monde. En réalité, elle n’est en rien comparable. Fait notable, elle ne met pas à l’abri des larmes pas plus qu’elle ne dispense de la souffrance. Pourtant, cette joie, les Écritures la décrivent comme étant ineffable et glorieuse.

La raison en est que sa source est absolument différente de celle du bonheur tel que le monde l’entend. Voici, la santé, l’argent ou encore le succès n’y contribuent en rien. Assurément, ce sont autant de bienfaits temporels pour lesquels nous ne manquons pas de rendre grâces à Dieu. Toutefois, si nous en sommes privés, nous n’en sommes pas moins joyeux! Et pour cause, notre bonheur ne dépend pas des circonstances de cette vie. Non, notre joie ne trouve son origine que dans le Seigneur. Nous nous réjouissons parce que nous avons cru en Dieu. Oui, nous nous réjouissons parce que nous avons connu et cru l’amour que Dieu a pour nous. Il ne reste maintenant nulle vallée qui ne soit comblée, nulle montagne ou colline qui ne soit abaissée. Non, en dépit des vents violents et des tempêtes, notre joie en Jésus-Christ demeure.

Alors, véritablement, nous le constatons: tout ce que ce présent siècle est en mesure de nous offrir est pâle et insipide. C’est ici une eau qui n’étanche jamais la soif, ce sont des plaisirs éphémères et vains qui ne contentent jamais l’âme. La connaissance de notre Seigneur Jésus-Christ, voici le motif pour lequel nous sommes remplis d’allégresse. Aussi, si Dieu le permet, nous chanterons à l’Éternel tant que nous vivrons; nous psalmodierons à notre Dieu tant que nous existerons!

Psaumes 104.33-34

Je chanterai à l’Éternel tant que je vivrai; je psalmodierai à mon Dieu tant que j’existerai. Que ma méditation lui soit agréable! Je me réjouirai en l’Éternel.

 

04 Juillet 2024

UN VRAI BLANCHIMENT

Non, Dieu ne tient nullement le coupable pour innocent. Ne nous abandonnons pas à cette pensée inique. Assurément, notre Dieu est juste et ne sanctionne jamais le péché de Sa bénédiction. Quelle terrible déclaration pour une conscience réveillée, n’est-ce pas? Où trouver le repos et comment apaiser les angoisses d’une âme convaincue de péché? L’homme peut bien courir par monts et vallées en quête de pardon et de paix. Il peut bien s’évertuer et se débattre tant qu’il le peut pour se défaire du péché, il ne fait que s’enfoncer davantage dans la fange.

Une constatation s’impose à nous, le salut n’est pas au pouvoir de l’homme. Sa nature est mauvaise. Il est vendu au péché. S’il prend appui sur la chair, il n’aura jamais qu’épines et chardons pour toute justice. C’est un fait indiscutable, si l’homme persiste dans cette voie, il s’expose au plus grand désespoir. Non, il ne peut y avoir de fin heureuse en suivant ce chemin. Pour sûr, il est une grande leçon qu’il nous faut absolument assimiler: le salut vient de l’Éternel. Si nous le cherchons ailleurs, nous serons toujours confus.

Quel est donc ce grand salut dont les Écritures nous entretiennent? En réalité, il porte un Nom, Jésus-Christ. C’est le seul Nom qui ait été donné parmi les hommes, par lequel nous devions être sauvés. Rien de moins que Son précieux sang est requis pour nous purifier du péché. Par conséquent, cessons de nous agiter en vain, il n’est nul autre remède. Écoutons attentivement la voix du Seigneur: « Je suis le chemin, la vérité et la vie; personne ne vient au Père que par moi. » En dehors de Lui, il n’est ni pardon, ni délivrance, ni salut. Toutes nos œuvres, même celles qui, à nos yeux, sont les meilleures ne peuvent nous revêtir d’une justice suffisante devant Dieu. Savons-nous quel est Son jugement à leur propos? Elles sont devant Lui comme le linge le plus souillé. La rançon à payer, à cause de nos péchés, est si grande que nul homme ne peut y prétendre.

C’est pourquoi, dès cet instant, faisons une chose: arrêtons de chercher notre propre justice. Plutôt, cherchons la justice de Dieu qui ne s’obtient que par la foi. L’oeuvre est déjà accomplie, croyons-le seulement! Alors, assurément, quand nos péchés seraient comme le cramoisi, ils seront blanchis comme la neige; quand ils seraient rouges comme le vermillon, ils deviendront comme la laine.

Jérémie 2.22

Quand tu te laverais avec du nitre, et que tu prendrais de la potasse en abondance, ton iniquité demeurerait marquée devant moi, dit le Seigneur, l’Éternel.

 

05 Juillet 2024

AVEZ-VOUS FAIT VOTRE CHOIX ?

Le saviez-vous ? Il est une ruse vieille comme le monde que le diable n’a cessé d’employer pour priver les hommes de la bénédiction de Dieu. Nous pourrions la résumer ainsi: « Dieu a-t-Il réellement dit? » Il y a bien longtemps, Dieu plaça Adam dans le jardin d’Eden. En ce temps-là, il n’était question ni de péché, ni de mort. Adam et sa femme Ève étaient innocents et vivaient en communion avec le Créateur. Ils avaient la vie. Ils pouvaient se réjouir dans le jardin où Dieu les avait placés. Un bonheur sans nuage en somme. L’homme ne reçut qu’une seule ordonnance: il ne devait pas manger de l’arbre de la connaissance du bien et du mal. Autrement, s’il venait à désobéir, il mourrait. C’est alors que le serpent fit son apparition dans ce décor et parla ainsi à Ève: « Dieu a-t-il réellement dit: Vous ne mangerez pas de tous les arbres du jardin? » Suite à cette interrogation, son cœur fut gagné par le doute et elle remit en cause la Parole de Dieu. Elle fut séduite par le serpent et mangea du fruit défendu avec son mari.

Comme chacun le sait, les conséquences furent dramatiques. Le péché est entré dans le monde et la mort s’est étendue sur tous les hommes. La situation est totalement différente aujourd’hui. Pourtant, remarquons-le, la ruse est toujours la même et les hommes sont toujours séduits. Autrefois, l’homme avait la vie. Il l’a perdue parce qu’il a désobéi au commandement que Dieu lui avait adressé. Aujourd’hui, l’homme meurt dans ses péchés mais Dieu Lui offre gratuitement la vie s’il croit en Son Fils Jésus. Dans Sa grâce, Dieu a pourvu à un moyen de réconciliation. Le Fils de Dieu est venu et, à la croix, Il a supporté le châtiment que méritaient nos péchés à notre place. Le péché est aboli. Tout est accompli. Le Juste qui paie pour les pécheurs. C’est en substance l’Évangile qui est prêché à toutes créatures sous le ciel. Quelles perspectives glorieuses! Quel grand Amour! Indiscutablement, cette offre si généreuse ne peut raisonnablement pas être rejetée.

Pourtant, c’est précisément ce que font les hommes. Ils ne reçoivent pas le témoignage de la grâce de Dieu. Ils refusent le bénéfice de cette si grande bénédiction. Et pour cause, comme il le fit avec nos premiers parents, le diable susurre ainsi aux oreilles de l’homme: « Dieu a-t-il réellement dit? » C’est ainsi que la promesse de Dieu est rendue nulle et inopérante à l’égard de celui qui prête l’oreille au calomniateur. N’est-ce pas la vérité? N’est-ce pas ce que nous vivons par expérience? Combien d’oppositions ne souffrons-nous pas lorsque nous annonçons l’Amour de Dieu et le salut en notre Seigneur Jésus-Christ? Pour les uns, l’Évangile est trop simpliste. Pour d’autres, Dieu ne peut pas exister puisque le monde est si mauvais, injuste et déréglé. D’autres objections courantes portent également sur l’authenticité prétendument douteuse des Écritures ou encore sur son origine qui serait humaine. Quoi qu’il en soit et en finalité, toutes les contestations qui émergent lorsqu’il est question de placer sa foi en Dieu et, plus précisément en la Personne de Jésus-Christ, peuvent être résumées ainsi: « Dieu a-t-Il réellement dit? »

Le diable est un menteur, il est même le père du mensonge! Pourquoi lui prêter l’oreille plus longtemps? Pourquoi demeurer dans sa servitude un instant de plus puisque la liberté nous est offerte en Jésus-Christ? En ce qui nous concerne, de quel camp voulons-nous faire partie? De celui qui rend gloire à Dieu en ajoutant foi à Sa Parole ou de celui qui Le déshonore en le faisant menteur? Que nous le voulions ou non, nous faisons partie d’un de ces deux camps. Il n’en est pas d’intermédiaire. Il n’existe pas de neutralité. Que Dieu nous accorde Sa grâce et nous communique l’Amour de la vérité pour être sauvés!

Le temps de la grâce n’est pas encore révolu. Certainement Dieu nous aime! Son Appel à nous repentir et à croire en Son Fils est encore d’actualité! En lieu et place de notre culpabilité, Il nous offre Son pardon. En lieu et place de notre condamnation, Il nous offre Son salut. En lieu et place de la mort éternelle, Il nous offre la vie éternelle! Qu’avons-nous encore à perdre du temps? Cet Appel est pour moi, pour toi, pour vous. Pourquoi ne pas y répondre?

Genèse 3.1-3

Or, le serpent était le plus fin de tous les animaux des champs, que l’Éternel Dieu avait faits; et il dit à la femme: Quoi! Dieu aurait dit: Vous ne mangerez point de tout arbre du jardin! Et la femme répondit au serpent: Nous mangeons du fruit des arbres du jardin; Mais quant au fruit de l’arbre qui est au milieu du jardin, Dieu a dit: Vous n’en mangerez point, et vous n’y toucherez point, de peur que vous ne mouriez.

 

06 Juillet 2024

NOTRE GRANDE CONSOLATION

Bien qu’il soit vrai que le juste ait des maux en grand nombre, les Écritures affirment pourtant que l’Éternel le délivre de tous! C’est pourquoi, alors que nous courrons, ne soyons pas étonnés si telle douleur physique, morale ou encore spirituelle vient à nous éprouver. Surtout, n’en prenons pas occasion pour douter du regard favorable que Dieu porte sur nous. Véritablement, nous sommes tous Ses enfants par la foi en Jésus-Christ. Oui, malgré tout, continuons à avancer.

Pour sûr, l’adversaire et ses suppôts ne manqueront pas de nous tenter à ce propos par leurs calomnies éhontées. Sans doute, nous voir déclarer forfait et nous retirer du Seigneur les rempliraient de satisfaction. Néanmoins, réalisons-le, ce serait bien la plus tragique des décisions à prendre. Alors, il ne resterait au lion rugissant plus qu’à dévorer sa proie. Puisque nous n’ignorons pas ses machinations, ne donnons aucun accès au diable! Ne tombons pas dans son piège, ne lui prêtons nullement l’oreille! Plutôt, fortifions-nous dans la grâce qui est en Jésus-Christ!

Dieu nous aurait-il abandonné? Non, bien évidemment, notre Dieu est fidèle! Si nous y réfléchissons, pourrait-il bien exister un mensonge qui soit plus grossier? Assurément, notre Dieu nous aime! Même, Il nous en a donné la preuve la plus évidente. Voici, Il fait éclater Son amour envers nous, en ce que, lorsque nous étions encore des pécheurs, Christ est mort pour nous. Dieu aurait-Il changé d’avis? Se serait-Il ravisé? Jamais! Indiscutablement, nous ferions bien de rejeter toutes ces suggestions perfides sans aucun ménagement.

Dans la détresse, attendons-nous simplement au Seigneur, dans le calme et la confiance. Il agira certainement! Certes, peut-être pas, de la manière dont nous l’aurions souhaitée. Mais toutefois, ceci est toujours vrai, toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu, qui sont appelés selon Son dessein. Sans nul doute, c’est ici notre grande consolation.

Luc 10.10-13

Comme Jésus enseignait dans une synagogue un jour de sabbat, Il se trouva là une femme possédée d’un esprit qui la rendait malade depuis dix-huit ans, et qui était courbée, en sorte qu’elle ne pouvait point du tout se redresser. Jésus, la voyant, l’appela et lui dit: Femme, tu es délivrée de ta maladie.

 

07 Juillet 2024

LE PÉCHÉ A ÉTÉ ANNIHILÉ AVEC SON SANG

Le monde ricane après ceux qui prient Dieu. Ils sont moqués et honnis ceux, et celles, qui placent leur confiance en l’Éternel et qui s’attendent à recevoir de Lui. Tout bien réfléchi, ne serait-ce pas encore ici une ruse de l’adversaire? Le psalmiste a déclaré « Pour moi, m’approcher de Dieu, c’est mon bien […] » Le diable ne tentera-t-il pas par tous moyens de nous en priver? N’emploiera-t-il pas toutes les ressources dont il dispose pour nous dissuader d’invoquer le Nom du Seigneur? Cela ne fait guère de doute! Ne nous y trompons pas, en dépit de ce que le monde prétend, la prière est un réel privilège. Il est vrai, par notre Seigneur Jésus-Christ, l’accès auprès du Père nous est garanti.

Néanmoins, avons-nous conscience qu’approcher du trône de la grâce ne va pas de soi? Savons-nous quel prix il en a coûté? Rien de moins que le sang du Fils de Dieu. Oui, assurément, seul le sang de l’Agneau, sans tâche et sans défaut, purifie de tout péché. L’homme qui n’en obtient pas l’aspersion demeure séparé de Dieu. Quelqu’un doute de cette parole? Écoutons plutôt le témoignage inspiré: « Mais ce sont vos iniquités qui ont fait séparation entre vous et votre Dieu; et vos péchés ont fait qu’il a caché sa face de vous, afin qu’il ne vous entende point. » N’est-il pas limpide? Pour ceux qui sont en Christ, il n’y a plus de condamnation, le péché a été aboli. Leur communion est maintenant avec le Père et avec Son Fils. Quant aux autres, ils sont toujours sans Dieu dans le monde.

C’est pourquoi, conscients du bonheur dont nous sommes si généreusement favorisés, veillons soigneusement à ne pas le mépriser. La prière ne nous semble-t-elle pas désormais parée d’un tout nouvel attrait? Ne sommes-nous pas, tout à coup, animés d’une ferveur toute nouvelle? Pour finir, soyons-en convaincus, le Seigneur ne met pas dehors celui qui vient à Lui. Si seulement quelqu’un entend Sa voix, qu’il approche! Indéniablement, cette invitation nous est encore adressée aujourd’hui même: « Approchez-vous de Dieu, et Il s’approchera de vous. »

Marc 1.35

Le matin, comme il faisait encore fort obscur, s’étant levé, il sortit et s’en alla dans un lieu écarté; et il y priait.

 

08 Juillet 2024

LE SACRIFICE UNIQUE ET  PARFAIT

Le sang de Jésus-Christ purifie de tout péché. Non, rien ne peut le laver ni le blanchir sinon le précieux sang du Fils de Dieu. La Parole l’affirme avec autorité, le Seigneur Jésus s’est offert une fois pour toutes pour abolir le péché. Réalisons-le, Son sacrifice est unique. Il n’y en aura plus jamais d’autre! Pour toujours, le châtiment tombé sur le Christ a satisfait la justice de Dieu.

Aujourd’hui, quelqu’un soupire après le salut? Quelqu’un croule sous l’insoutenable fardeau de sa culpabilité? Qu’il sache premièrement que toutes ses œuvres, tous ses efforts et toutes ses meilleures intentions ne pourront jamais l’en soulager, ne serait-ce qu’un peu. Ce sont autant de sacrifices inutiles qui ne peuvent en aucun cas communiquer la certitude du salut à celui, ou celle, qui les pratique. Non, c’est seulement en se confiant dans le Nom du Seigneur Jésus que les âmes chargées et languissantes trouvent le repos. En Christ, elles voient leur péché condamné. En Christ, elles voient le jugement qu’elles méritaient être enduré par un autre. Là, elles reconnaissent qu’une rançon a été trouvée! Quel soulagement incomparable!

Si ce n’est en Christ, l’âme ne peut jouir d’aucun repos véritable. Dieu s’est pourvu Lui-même de l’Agneau pour le sacrifice. Par conséquent, il parait tout à fait évident que toute autre offrande sera rejetée. Sans passer par la croix, sans nous soumettre au témoignage du Christ mort en croix pour nos péchés, soyons-en persuadés, la vie nous échappe. Les Écritures sont tout à fait claires à ce sujet: « Celui qui croira et sera baptisé, sera sauvé; mais celui qui ne croira point sera condamné. » Pourquoi persisterions-nous à mal faire? Pourquoi resterions-nous incrédules? Maintenant, la grâce de Dieu salutaire à tous les hommes a été manifestée. Nous n’avons qu’à la recevoir avec reconnaissance! Véritablement, tout est accompli!

Hébreux 10.12-14

Mais lui, ayant offert un seul sacrifice pour les péchés, s’est assis pour toujours à la droite de Dieu, Attendant désormais que ses ennemis deviennent le marchepied de ses pieds. Car, par une seule oblation il a rendu parfaits pour toujours ceux qui sont sanctifiés.

 

09 Juillet 2024

LA SOUILLURE DE L’HOMME

À bien y réfléchir, que sert-il d’afficher une piété apparente si toutes les pensées du cœur ne sont qu’impiété et injustice? Tout au plus, nous en pourrons récolter quelques vaines louanges de la part de ceux qui auront été dupes de la supercherie. Néanmoins, outre ce maigre butin, que gagnons-nous à clocher des deux côtés? Réalisons-le, la vaine gloire, les honneurs mondains, la bonne réputation, tout cela n’est que du vent. Que restera-t-il ensuite sinon notre cœur rebelle et méchant? Lorsqu’il faudra rendre compte à Dieu, les faux semblants ne seront plus d’aucun secours. Alors, tout sera pleinement manifesté. Nul ne pourra cacher la moindre pensée pas plus qu’il ne pourra dissimuler le plus petit mouvement de son cœur.

Voici, devant Dieu, toutes choses sont nues et entièrement découvertes. Le fait parait évident désormais, nous ne gagnons rien à nous parer d’hypocrisie. Pire, nous ajoutons encore à tous nos autres péchés celui de mentir à Dieu en prétendant être ce que nous ne sommes pas. Combien plutôt devrions-nous répandre nos cœurs devant Lui et admettre notre ruine totale. Non, le bien n’habite pas en l’homme. Il ne sort rien de bon de lui. Bien sûr, notre Dieu connaît toutes ces choses.

Une question se pose alors, pourquoi résister inutilement et s’entêter à nier ce qui est flagrant? Ce n’est rien moins qu’une folie! Maintenant, pour qui reconnait son triste état, Dieu a donné un sujet de grande réjouissance. Il a envoyé Son Fils, notre Sauveur! Jésus-Christ est venu chercher et sauver ce qui était perdu. Que cette parole est douce et pleine de consolation, n’est-ce pas? Il n’est plus guère besoin à présent de nous couvrir de nos linges souillés. Non, dans Sa grâce, le Seigneur nous revêt du précieux vêtement de Sa justice! Quelle grâce! Aussi, n’attendons plus un seul instant, venons à Lui tels que nous sommes. Croyons-le, toutes choses deviendront nouvelles!

Marc 7.15-16

Rien de ce qui est hors de l’homme et qui entre en lui, ne le peut souiller; mais ce qui sort de lui, voilà ce qui souille l’homme. Si quelqu’un a des oreilles pour entendre, qu’il entende.

 

10 Juillet 2024

JE NE T’OUBLIERAI JAMAIS

N’est-il pas rassurant de savoir qu’il est Quelqu’un qui ne nous abandonne jamais? Quelles que soient nos erreurs, quelles que soient nos errements, quelles que soient nos vies, Sa fidélité ne faillit pas. Alors que tous s’en vont, nos bien-aimés, notre famille, nos plus intimes amis, le Seigneur quant à Lui ne renonce jamais à nous. Non, Son amour ne varie pas. Il est solide et constant. C’est un fait indiscutable, nul ne peut, ni ne pourra, nous séparer de l’amour de Dieu manifesté en Jésus-Christ notre Seigneur.

Est-ce à dire que nous sommes sans reproche, que toutes nos voies Lui sont agréables et que nous ne bronchons en aucune occasion? Non, bien évidemment. Pour autant, nous ne sommes pas rejetés ni livrés à nous-mêmes. Considérons ce que nous enseigne le Livre: « Car vous êtes tous enfants de Dieu par la foi en Jésus-Christ. » Se peut-il exister une relation plus stable et sécurisante que celle qui est filiale? Réfléchissons, si un enfant commet une erreur ou fait une bêtise, son père le reniera-t-il pour autant? Non, bien sûr. Qui donc pourrait croire que le Père céleste, le Père parfait, puisse agir de la sorte? Voici, Il nous a engendrés selon Sa volonté, par la parole de la vérité, afin que nous fussions comme les prémices de Ses créatures. C’est pourquoi, nous n’avons pas à craindre l’abandon. Nous sommes à Lui! Quelles que soient les circonstances, les saisons de la vie ou encore les difficultés traversées, nous serons toujours à Lui.

Quelqu’un doute-il encore de cela? Pour finir de nous en convaincre, prêtons l’oreille encore un instant: « La femme peut-elle oublier l’enfant qu’elle allaite, et n’avoir pas pitié du fils de son sein? » Que répond le Seigneur? « Mais quand elles les oublieraient, moi je ne t’oublierai pas. » Qu’il nous souvienne seulement de cette parole! Oui, sans cesse, que cette pensée pleine de consolation repasse dans notre cœur: « Moi je ne t’oublierai pas. »

Esaïe 49.15-16

La femme peut-elle oublier l’enfant qu’elle allaite, et n’avoir pas pitié du fils de son sein? Mais quand elles les oublieraient, moi je ne t’oublierai pas. Voici, je t’ai gravée sur les paumes de mes mains; tes murs sont continuellement devant mes yeux.

 

11 Juillet 2024

L’AMOUR ENVERS DIEU PRODUIT L’AMOUR DU PROCHAIN

Le Seigneur nous commande de nous aimer les uns les autres comme Lui-même nous a aimés. Quel objectif ambitieux! Sans doute, face à cette montagne, il se peut que nous cédions au découragement avant même d’avoir commencé à la gravir. Véritablement, qui peut prétendre aimer son prochain comme le Christ nous a aimés? Qui est capable d’une si ardente charité? Seul et vendu au péché, nous devons l’admettre, l’homme ne peut atteindre ce but.

Le Seigneur se serait-Il trompé? Aurait-il donné un ordre qui soit hors de notre portée? Non, bien sûr. Il a promis d’envoyer le Consolateur, le Saint-Esprit. C’est Lui qui répand l’amour de Dieu dans nos cœurs. Si nous en sommes privés, inutile d’espérer manifester une once d’amour autour de nous. Nous le savons, c’est de l’abondance du cœur que la bouche parle. S’il n’est rempli que d’amertume et de haine, malgré tous nos efforts, le fruit que nous porterons sera conforme. De toute évidence, il nous faut d’abord faire l’expérience de l’amour de Dieu avant de pouvoir aimer soi-même les autres. Autrement, nous mettrions la charrue avant les bœufs. Impossible, dans ce cas, de parvenir au standard moral qui nous est présenté. Comprenons-le bien, nous ne pouvons donner ce que nous n’avons pas reçu. Pour sûr, ceux qui décident toutefois de s’y affairer ne peuvent qu’essuyer échec sur échec et être gagnés bon train par l’épuisement. Écoutons, le Seigneur Jésus nous avertit: « Demeurez dans Mon amour… » Que gagnerions-nous à résister si farouchement à cette invitation pleine de douceur?

Pour conclure, que reste-t-il maintenant à faire à ceux, et celles, qui ont à cœur d’obéir à l’injonction du Seigneur? Simplement s’abandonner à Lui. Réalisons-le, il faut qu’Il croisse et que nous diminuons. Les Écritures l’affirment: tous ceux qui contemplent la gloire du Seigneur, comme dans un miroir, sont transformés à Son image, de gloire en gloire, comme par l’Esprit du Seigneur. Si nous devenons tels qu’Il est Lui-même, assurément nous saurons aussi aimer comme Lui l’a fait. Sans nous en apercevoir, nous porterons le fruit de Son Esprit et notre amour deviendra évident pour tous!

Luc 10.26-28

Jésus lui dit: Qu’est-ce qui est écrit dans la loi, et qu’y lis-tu? Il répondit: Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta force et de toute ta pensée; et ton prochain comme toi-même. Et Jésus lui dit: Tu as bien répondu; fais cela, et tu vivras.

 

12 Juillet 2024

IL EST INCENSÉ DE METTRE DIEU DE COTÉ

Le commencement de la sagesse, c’est la crainte de l’Éternel. Combien nous sommes heureux si nous la possédons! Pour sûr, tous ceux qui observent Ses commandements ont une raison saine. Le cœur ferme, assuré en l’Éternel, ils n’ont absolument aucune mauvaise nouvelle à craindre. Les Écritures le certifient: qui craint Dieu sort de tout! C’est pourquoi, prenons à cœur d’emprunter ce sentier béni. Certes, s’en écarter serait une véritable folie. Cela reviendrait, ni plus ni moins, à dire que nous avons délibérément résolu de faire ce qui nous plait au mépris du conseil de Dieu. Pourtant, nous sommes chez Lui. Indiscutablement, nous devrions L’écouter avec attention et obéir à Sa voix.

Que revient-il à l’homme de se rebeller? Que gagne-t-il à se mettre au rang des ennemis de Dieu? Aime-t-il donc tant la mort et les ténèbres pour maltraiter son âme au point de mettre en oubli le Seigneur et Le rejeter derrière son dos? Sans doute, une telle attitude ne pourra que se solder par une fin funeste. Pour nous, si nous avons erré un moment, ne perdons pas plus de temps, revenons à notre bon sens. Voici, la crainte de l’Éternel est une source de vie, elle conduit à la vie! Abreuvons-nous donc à cette source, veillons-y soigneusement! Dès à présent, ne tardons plus, soumettons-nous à Dieu et faisons allégeance à Son Fils, notre Seigneur Jésus-Christ.

Oui, c’est ici l’Oeuvre de Dieu, que nous croyions en Celui qu’Il a envoyé. À Son propos, tel est l’ordre qui nous a été adressé de la part de Dieu: « C’est ici mon Fils bien-aimé, écoutez-le. » Pour le bien de nos âmes, n’y résistons pas! Observons fidèlement cette parole et nous nous en trouverons bien! Oui, le Christ sera notre lumière. Oui, c’est une certitude, Il éclairera notre sentier et nous enseignera la crainte de Dieu tous les jours de notre vie!

Ecclésiaste 12.12-14

Du reste, mon fils, tire instruction de ces choses ; on ne finirait pas, si l’on voulait faire un grand nombre de livres, et beaucoup d’étude est une fatigue pour le corps. Écoutons la fin du discours: Crains Dieu et observe ses commandements. C’est là ce que doit faire tout homme. Car Dieu amènera toute œuvre en jugement, au sujet de tout ce qui est caché, soit bien, soit mal.

 

13Juillet 2024

CONNAISSEZ-VOUS LE COÛT DE VOTRE RACHAT

Nous sommes rachetés! Oui, notre Dieu nous a rachetés! Assurément, si nous le savons, notre bonheur ne peut être augmenté d’aucune façon. Voici, notre âme a de la valeur aux yeux du Seigneur. Quelle douce pensée, n’est-ce pas? Savons-nous quelle grande rançon a été payée pour nous arracher, comme des tisons hors du feu, à la condamnation que nous méritions? Il n’en coûtât rien de moins que le précieux sang du Fils de Dieu. Là, au mont du Calvaire, Dieu a signalé toute l’étendue de Son Amour à toute l’humanité. Qui peut en saisir toute la portée? Qui est celui qui saura déclarer quelle en est la largeur, la longueur, la profondeur et la hauteur? Certainement, demeurant en Jésus-Christ, nous pouvons vivre heureux et contentés.

Quelqu’un peut-être est-il sceptique? « Et si jamais le Seigneur se ravisait? », s’interroge peut-être un de nos lecteurs? Sans doute, cette pensée ne manque-t-elle pas de nous effleurer, notamment lorsque vient le temps de l’épreuve. Pourtant, soyons-en certains, cette suggestion est sans aucun fondement. Après avoir concédé un si grand prix pour nous faire Siens, se pourrait-il que le Seigneur en vienne maintenant à nous abandonner au milieu du chemin? Chacun en convient, ceci n’aurait absolument aucun sens.

Dieu est fidèle. Dieu est amour. C’est pourquoi, le cœur résolu, résistons sans ménagement à ces calomnies. Ce ne sont que des mensonges destinés à nous faire douter et à troubler nos cœurs. Écoutons plutôt ce que dit Dieu à Son peuple: « Quand tu traverseras les eaux, je serai avec toi; et les fleuves, ils ne te submergeront point. Quand tu passeras par le feu, tu n’en seras pas brûlé, et la flamme ne te consumera pas. » Voici la vérité! Voici les paroles sur lesquelles il faut prendre appui! Oui, sans hésitation et sans crainte, nous pouvons abandonner entre les mains du bon Berger tout ce que nous appelons nôtre. Nous sommes à Lui et, même dans la vallée de l’ombre de la mort, Il nous fera marcher en sécurité!

Esaïe 43.1-2

Maintenant, ainsi a dit l’Éternel, celui qui t’a créé, ô Jacob! celui qui t’a formé, ô Israël! ne crains point, car je t’ai racheté; je t’ai appelé par ton nom, tu es à moi. Quand tu traverseras les eaux, je serai avec toi; et les fleuves, ils ne te submergeront point. Quand tu passeras par le feu, tu n’en seras pas brûlé, et la flamme ne te consumera pas.

 

14 Juillet 2024

UNE GRANDE GRÂCE

Soyons-en sûrs, devant Dieu, tous sont sur un pied d’égalité. En effet, si nous considérons les Écritures, qu’apprenons-nous? Tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu. C’est un fait, si le Seigneur l’avait voulu, Il aurait pu condamner uniformément tous les hommes sans aucune miséricorde. Il aurait pu les traiter avec le dernier des mépris! Après tout, l’homme n’a-t-il pas désobéi? N’a-t-il pas dédaigné le bon conseil de Dieu?

Néanmoins, notre Dieu en a usé tout autrement envers l’humanité. Véritablement, Ses voies et Ses pensées sont tellement au-dessus des nôtres! Bien loin de condamner l’humanité, Il a témoigné de Son amour pour elle. Voici, la grâce de Dieu salutaire à tous les hommes a été manifestée. Pourquoi vivons-nous aujourd’hui sinon parce que Dieu a eu pitié de nous? Nous vivons parce que nous espérons en Son Fils et croyons que nous serons justifiés par Sa grâce. Incontestablement, sans Christ, nous ne possédons rien et ne sommes rien. S’il se trouve quelque valeur en nous, ce n’est que dans la mesure où nous demeurons en Lui et Lui en nous. Par conséquent, quel sujet y a-t-il à se glorifier? Absolument aucun.

Quelle raison avons-nous donc de nous blesser les uns les autres? Pourquoi chercher à dominer et à user d’autorité sur les autres comme si nous leur étions supérieurs? Non, assurément, il ne reste pour l’homme nulle place pour l’orgueil et la présomption. En réalité, la seule conduite qui soit convenable est celle d’un cœur humble. N’est-ce pas à une telle attitude que le Christ Lui-même nous invite par ces paroles: « Si quelqu’un veut être le premier, il sera le dernier de tous et le serviteur de tous. » Aussi, abandonnons nos propres intérêts pour prendre à cœur ceux de Christ!

Concrètement, employons-nous avec amour à la recherche de ce qui contribue à l’édification de nos frères et sœurs dans le Seigneur. Usons de notre influence éventuelle et des dons qui nous ont été prêtés, non pour notre propre bénéfice, mais pour le bien commun. En un mot, veillons à ce que personne ne se prive de la grâce de Dieu!

Proverbes 14.21

Celui qui méprise son prochain, s’égare; mais celui qui a pitié des affligés, est heureux.

 

15 Juillet 2024

UNE FAMINE DE LA PAROLE DE DIEU

Indiscutablement, privés de la Parole de Dieu, nous vivrions dans une obscurité totale. Nous serions livrés à nous-mêmes et abandonnés à la noirceur de notre cœur. Certes, comme des aveugles, nous irions, titubant et ne sachant où aller. Quelle direction faut-il suivre? Quel chemin faut-il emprunter? Où se trouvent le salut et la vie? Imaginons que nous n’obtenions aucune réponse à ces questions pourtant fondamentales. Ne serions-nous pas totalement désespérés? Réalisons que sans le témoignage des Écritures, telle serait notre condition. Il y a des personnes qui sont mortes dans cette condition…

Considérant ces choses, il parait évident nous ne pouvons qu’apprécier davantage la grâce incomparable de notre Dieu. Il nous a parlé, Il nous a livré Son précieux conseil! Véritablement, Sa Parole est d’une valeur inestimable. Il est tout à fait indéniable que la moindre parole qui sort de la bouche de Dieu vaut plus que tout l’or et l’argent que ce pauvre monde saurait nous offrir. Par Sa Parole, nous apprenons à connaître qui est Dieu et quelles sont Ses intentions envers l’humanité. Par elle, nous est révélée la voie du salut par la foi dans le Nom de Jésus-Christ. Qui peut s’en passer? Qui peut vivre sans la lumière de la vie? C’est un fait, la révélation des paroles de Dieu éclaire, donnant de l’intelligence aux simples.

Conscients du trésor dont nous sommes favorisés, veillons soigneusement à ne pas le mépriser. Ne l’oublions jamais, les saintes lettres peuvent nous rendre sages à salut. Pourrions-nous vilipender pareille richesse? À moins d’être hors du sens, cela n’est absolument pas envisageable! Voici, l’homme ne vivra pas de pain seulement mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu. Prenons garde de ne pas la dédaigner de peur que la famine ne nous atteigne et ne prive nos âmes de sa prospérité spirituelle!

Amos 8.11-12

Voici, les jours viennent, dit le Seigneur, l’Éternel, où j’enverrai la famine dans le pays; non une famine de pain ni une soif d’eau, mais celle d’entendre les paroles de l’Éternel. Ils erreront d’une mer à l’autre, et du nord au levant; ils iront çà et là pour chercher la parole de l’Éternel, et ils ne la trouveront pas.